Citation :
Si vous ne vous êtes pas rendue compte que tout ce qu'il disait est contraire à la réalité, vous allez croire longtemps CR innocent.
Et c'est cela qui est bien embêtant.
Citation :
GIHEL a une démarche négationniste. Aucun élément allant dans le sens de la culpabilitéde CR ne peut l'effleurer. CR est innocent à tout prix. Qu'importe ce qu'il y'a dans le dossier. On nie tout.
Est-ce de ma faute s'il n'y a pas eu d'instruction ? Si rien n'a été vérifié ? Si rien n'a été recoupé ? Est-ce de ma faute si de nombreux éléments sont paradoxaux, se contredisent ? Est-ce de ma faute s'il apparaît un homme au pull-over rouge ? Est-ce de ma faute si le témoignage Aubert est impossible parce qu'on ne coprend pas pourquoi, venus si près, la gamine ne se précipite pas vers eux ? S'ils ne l'entendent pas crier, quand ils l'entendent parler d'une voix fluette ? Si la portière qui devrait s'ouvrir est bloquée ? Je ne nie rien, je ne crois pas. Je constate que ce dossier est bancal, mais le témoignage Aubert, qu'est-ce qu'on en a parlé ici. On a tenté de savoir ce qui était possible, impossible, probable, improbable...
Citation :
Pour GIHEL, sur un forum, caché derrière un pseudonyme, ce n'est pas grave. CR ça lui a coûté la vie alors que s'il avait reconnu les fait au moment du procès et exprimé des regrets, il aurait été condamné à perpétuité.
Vous êtes fortiche, vous êtes capables de vous mettre à la place des jurés, du président et de ses assesseurs. Rien n'indique qu'un autre comportement de Ranucci aurait entraîné l'indulgence du jury. Rien du tout, bien au contraire, vu l'atmosphère, il pouvait avoir l'attitude qu'il voulait, il aurait été condamné à mort.
Il aurait exprimé des remords comme vous dites, on aurait dit, il n'est pas sincère, allez, zouh, on l'égorge.
Viala dit à Hondelatte qu'il a requis la peine de mort parce que l'opinion publique l'exigeait, sous-entendu, je n'ai aucun pouvoir, aucun jugement personnel, je suis la foule. Paraît-il, c'est un grand monsieur.
Donc Ranucci se repentant, n'échappait pas du tout aux foudres de Viala. Quant aux jurés, M. Blatty indique à la journaliste qu'il est contre a peine de mort, mais qu'il pensait à la gamine. Donc même si Ranucci avait pris la stratégie que vous dites, on aurait pensé à la gamine et on l'exécutait quand même.
Donc votre argument ne tient pas la route une seule seconde.
Quoi qu'il fasse il était condamné à crever coupé en deux.
Par ailleurs je tiens mon nom à votre disposition. Quand on manque d'arguments...
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Je n'aurais jamais condamné à mort CR car c'est indigne d'une société civilée mais j'ai toujours eu l'impression qu'il s'était lui-même jeté sur la planche de la guillotine.
C'est con, il a glissé sur une peau de banane et il n'a pas vu la guillotine en face. Dommage, vous n'étiez pas juré.
Pour finir sur la guillotine, il faut être condamné à mort par neuf jurés, un président et deux assesseurs, il faut rater la cassation, même quand le droit est violé de façon flagrante, et que le président de la république refuse sa grâce. Donc pour se jeter sous la guillotine comme vous dites, il y a quelques personnes qui l'ont furieusement aidé.
Et qui sont j'en suis sûr très fières d'elles.
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J'envoie à toute personne qui me transmets son email, un document officiel qui montre que la date portée sur la fiche de scellé est celle du début de l'affaire et non celle de la découverte du scellé.
Et puisque GIHEL veut jouer les grands enquêteurs, il n'a qu'à demander à n'importe quel gendarme quelle date celui-ci mettrait sur la fiche d'un scellé confectionné plusieurs jours après le début d'une affaire (sans parler de l'affaire RANUCCI, bien sûr) mais son obscurantisme lui interdira de faire cette démarche. Il aurait trop peur de découvrir la vérité.
Il préfère rêver...
Ils est emmerdant, le "grand enquêteur", il trouble la douce quiétude de notre belle organisation.
Je regarderai sur un autre dossier d'instruction pour voir comment c'est fait. Mais j'ai découvert d'autres choses sur le récapitulatif de saisi de M. Jules Porte, concernant la continuité de la frappe, et là, comme cela se trouve, je n'ai pas de réponse.