Citation :
Ce n'est pas moi qui te contredirai sur ce point.
Comme, malgré le mal que tu t'es donnée pour m'expliquer comment télécharger le logiciel adéquat, je n'ai quand même pas réussi à écouter l'interview (eh oui .. que veux-tu, je suis un cas), j'aimerais savoir si cette phrase de Gérard Bouladou a été prononcée sur un ton et dans un contexte signifiant plutôt, comme tu le dis, "Et c'est heureux !", ou "Rien à faire, tant qu'on sera dans l'Europe, ce sera impossible". Ou encore sous une forme neutre.
Si je demande cela, c'est parce que j'avais été horrifiée, et je l'avais dit à Gérard Bouladou, par la place et la complaisance accordées dans son livre au témoignage de Meyssonnier, assistant d'Obrecht, au motif de savoir si CR avait ou non prononcé la phrase "Réhabilitez-moi"..
Une interview qu'absolument rien ne justifiait.
Outre qu'il n'est pas d'une importance primordiale, dans la question de savoir si CR est ou non coupable, de savoir s'il a ou on prononcé cette phrase, point n'était besoin, pour avoir une réponse à cette question, d'accorder une tribune à Meyssonnier. Il suffisait de le contacter et de lui poser la question.
Gérard Bouladou a parlé de celà sur un ton d'"honnête homme". Du moins, il me plaît à le penser.
Il parle également de l'exécuteur d'Alger qui lui a fait une démo de la veuve et lui a montré une tête de décapité dans un bocal de formol et a ajouté qu'il valait mieux passer sur le sujet.
Si l'interview justifiait la sortie de son livre.