Citation :
Je crois donc tout simplement que Mme Aubert, a parfaitement compris le danger de la situation, et que le couple n'est pas intervenu par lacheté,
Ils ont ensuite essayé de prévenir la gendarmerie de Roquevaire, mais n'ont pas osé parler d'enfant, et c'est à ce moment qu'ils ont décidé de parler d'un paquet ....
ce qui peut expliquer que le gendarme de service n'ait pas jugé utile de consigner leur déclaration...
Bonsoir,
environ 30 ans après les faits, interviewé par l'ex policier G Bouladou, M Aubert raconte que ce 3 juin 74, ils sont allés à la gendarmerie de Roquevaire pour raconter ce qu'ils avaient vu sur la rn8bis.
Ils auraient expliqué qu'ils étaient témoins d'un accident de la circulation. Le gendarme leur aurait dit qu'il transmettrait l'information à la gendarmerie compétente celle d'Auriol.
En réalité, il n'y avait pas et il n'y a toujours pas de gendarmerie à Auriol.
Je suppose que M Aubert s'est embrouillé dans ses souvenirs puisque le 4 juin, curieusement, la gendarmerie de Roquevaire, incompétente la veille selon les dires du gendarme, accepte de prendre sa déposition par téléphone dans laquellle il parle effectivement d'un paquet.
Ceci est consigné dans le rappport de synthèse du capitaine de gendarmerie M Gras.