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Non, quelques bitures ne prouvent rien. Mais soigner une gueule de bois matinale à coup de whisky, prendre une goulée devant chaque situation déroutante et transporter un flacon de whisky permet de s'interroger sur la nature de la relation avec l'acool de Ranucci. C'est tout.
En fait, à part la parole de Ranucci, rien ne prouve que celui-ci se soit bituré durant la nuit du 2 au 3 juin. Il est vrai que si ç'avait été le cas, on pourrait se poser des questions en effet sur l'alcoolisme de Ranucci car soignée une gueule de bois par de l'alcool, c'est, je crois, une attitude caractéristique de l'alcoolisme. Après une cuite, un non alcoolique serait en principe écoeuré par l'alcool pour un bon moment.
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Quant à l'extasy, il y a un problème. Ces drogues de synthèse n'existait pas à l'époque. Le plus ressemblant étaient les amphétamines et leur usage récréatif n'était pas vraiment courant. Il est vrai que cet usage commençait à aparaitre avec la prise de certains médicaments qui les contenaient comme les cocktails pour faire maigrir.
Mais l'amphétamine c'était plutôt le domaine des universitaires surchagés en époque d'examen, des conducteurs de longue distance, militaires en opération, etc...
En fait, l'extasy date de 1898, mais cette drogue ne commence en effet à se populariser et se répandre dans la rue qu'à partir de 1976, donc bien après le service militaire de Ranucci.