Marc a dit :
Citation :
Relisez les articles, comparez aux dépositions : il manque une phrase, qui explique tout. La petite dit : "Qu'est-ce que vous allez me faire ?" Il y a non assistance à personne en danger, sans l'ombre d'un doute. Les policiers ont accepté d'oublier cette phrase.
Citation :
Voici la presse :
Le provençal du 7 juin :
Madame Aubert :
J'ai entendu les paroles de la fillette. Je les ai gravées dans ma mémoire et je peux vous les répéter. Elle vous a dit : Où va-t-on ? Qu'est-ce qu'on fait ? Qu'allez-vous faire de moi !"
Dès cet instant, le suspect balbutie des phrases incohérentes pour craquer très vite. Christian Ranucci passe aux aveux.
Le mérdional même date
Madame Aubert :
Et j'ai parfaitement entendu lorsque la gosse lui a dit : Ne me touchez pas, où va-t-on ? Qu'est-ce que vous allez faire de moi...
Jamais nous n'avons pensé qu'il s'agissait d'un sadique, d'un criminel. (sic, ça c'est moi qui le rajoute )
Le commissaire Alessandra :
Madame Aubert est sur ce point formelle, elle a entendu la petite Marie-Dolorès crier au ravisseur : Mais où allons-nous, que voulez-vous faire, pourquoi me poussez-vous !
La marseillaise (même date)
"Elle (madame Aubert) devait alors dire au jeune homme qui se trouvait face à elle : Je vous reconnais. Vous êtes sorti rapidement de la voiture. Vous avez saisi brutalement une fillette avant de vous enfuir dans la colline. Je peux vous répéter les mots qu'a prononcés la petite fille : Où va-t-on ? qu'est-ce qu'on fait, qu'est-ce que vous faites de moi ? "
Et au final, dans la déposition, cela devient ; qu'est-ce qu'on fait d'une voix fluette... Alors ma question très simple : why...
Je m'étonne que ce soit les innocentistes qui contestent cela, car à mon avis, c'est plutôt à décharge. Mais vous allez surement éclairer ma lanterne...