Citation :
Question à poser à un médecin-légiste avant de spéculer sur ce que les policiers savaient ou pensaient savoir : est-il possible que Vuillet, qui a relevé les premières constatations en vue de faire son rapport, fait une toilette sommaire pour présenter la victime à son père puis a ordonné la levée du corps, puisse ignorer que les plaies au cou furent causées par une arme blanche ?
Ensuite, une autre question à poser à un officier de PJ et à un juge d'instruction : est-il possible que, réunis OPJ, juge d'instruction et médecin-légiste autour du cadavre récemment découvert d'une victime d'un enlèvement qui tient la région sur les dents depuis plusieurs jours, aucun d'entre eux n'ait souhaité connaître le résultats des premières constations du légiste sur le lieu même du crime ?
Quant à moi Vuillet n'a jamais affirmé que l'arme du crime était une arme blanche. Il a plutôt dit qu'une arme blanche figurait entre les possibilités. Mais je pense qu'également toutes les personnes présentes ont su que la victime a été poignardé au cou.
Pour le reste je pense qu'en Françe la réponse de Frank van der Goot sur la question d'Anne ,vaut comme en Hollande.
Citation :
8/ Q : Est-ce que le médecin légiste échange ses constatations avec les enquêteurs pendant tout l'enquête ,ou le fait il seulement quand il présente son rapport ?
8/ R:Dans la plupart des cas, les enquêteurs sont prévenus des diverses constatations dès le début (du moins dans le systême hollandais). Dans ce cas, les enquêteurs (juge et OPJ) sont au courant dès l'autopsie du nombre de coups, localisation des plaies, profondeurs,couteau utilisé [tranchant d'un ou deux cotés], cause de la mort et une estimation de la datation.
De nouveau, je ne connais pas le systême français.