Citation :
Les policiers ne voulaient pas que les gendarmes cherchent le couteau car ils comptaient le faire avec CR en prolongation de GAV.
Mais les gendarmes voulaient le trouver eux-meme. Ne sachant pas où il était, ils ont commencé à chercher sur le lieux du crime en allant vers la champignonnière.
Ce n'est que lorsque les policiers ont su qu'ils n'avaient pas de prolongation de GAV que les gendarmes ont cherché sur le tas de tourbe comme l'atteste le P.V de Monnin et tous les rapports ou P.V de Gras.
Alors là, c’est le scoop. Vous admettez (parce que vous ne pouvez pas faire autrement) que les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime.
Citation :
Je vous quitte, je vois que vous ne connaissez vos classiques.
Et vous, vous oubliez ce que vous avez écrit sur le sujet.
Je vais vous le rappeler.
Sur ce forum :
Citation :
Les gendarmes n'ont jamais commencé à chercher le couteau à deux kilomètres, c'est encotre une anerie que raconte Gilles Perrault.
Citation :
6) Les gendarmes n’ont jamais commencé à chercher le couteau à partir du lieu du crime, ni ailleurs, autrement que sur le tas de tourbe lorsqu’ils en ont reçu l’ordre. D’abord parce qu’ils n’avaient pas mission de le faire et parce que cela était ridicule.
Citation :
Cette théorie des gendarmes qui commencent à chercher ailleurs que sur le tas de tourbe est débile (désolé d’être obligé d’employer ce mot sans arrêt) parce que CR avait avoué en début de ses aveux qu’il était dans le tas de tourbe.
Citation :
Les policiers pensaient obtenir une prolongation de garde à vue pour aller chercher le couteau avec lui et ce que n'est qu'à dix sept heures trente, lorsqu'ils ont su que Mlle DI MARINO refusait de donner cette prolongation qu'ils ont demandé aux gendarmes de chercher.
Dans votre deuxième livre :
Citation :
Le deuxième argument présenté par Gilles Perrault est que, selon lui, les gendarmes auraient commencé à chercher le couteau dans les sous-bois au début du chemin menant à la champignonnière.
Ceci n'est pas du tout conforme au procès-verbal établi par l'adjudant Monnin : « À dix-sept heures trente, nous nous transportons sur un terre-plein précédant l'accès à la champignonnière... » Il n'est pas fait mention dans le reste de la procédure d'une recherche qui aurait été faite ailleurs.
Les personnes présentes qui ont assisté aux recherches des gendarmes ont bien vu ceux-ci commencer leurs recherches du couteau devant la champignonnière, comme cela est indiqué sur le procès-verbal des enquêteurs.
Donc nous y sommes, les gendarmes commencent les recherches à l’heure que dit Monnin (17h30), sur le lieu de crime. Ils passent donc le plus clair de leur temps à rechercher ailleurs que dans le tas de tourbe. Quand nous voyons la dimension de la zone de recherche par rapport aux 170 m2 de la plateforme où se trouve la tourbe, ils n’ont pas du passer beaucoup de temps sur le tas de tourbe.
Et là, bingo, avec une curieuse information supplémentaire, ils trouvent le couteau « assez rapidement ».
Dans tout cela, vous ne nous dites pas comment les gendarmes ont pu savoir qu’il y avait un couteau à chercher, si les policiers ne voulaient pas qu’ils le cherchent.
Citation :
J'ai un petit avantage sur vous, c'est que j'ai rencontré au moins dix personnes qui étaient sur place.
Si vous pensez que c'est un avantage, n'oubliez pas alors de remercier les personnes présentes qui ont assisté aux recherches des gendarmes et qui vous ont donné des informations erronées.