Le corps a obligatoirement été déplacé.

A votre avis où se trouvent ces longues griffures?

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grruuuuuuiiiiiiiiiiiccccccckkkkkkkkkkk
Membre du conseil de l'ordre des marabouts de la forêt sacrée en Afrique de l'Ouest

Je pense qu'il faut rester cohérent, tout de même : Ranucci d'une part a avoué s'être servi de pierres pour défigurer l'enfant et d'autre part si les pierres étaient des galets d'Etretat, je pense que ca n'aurait pas échappé au enquêteurs.

Apartir du moment où l'enquête ne s'est pas inquiétée de savoir si les tçaches de terre sur le pantalon avaient un rapport avec la terre de la champignonnière, tout est possible...

Cette affaire va finir devant jpasc95 Courbet, c'est moi qui vous le dit.

C'est marrant comme vos "réponses" détournent le sujet...

C'est marrant comme vous essayer de nous détourner de certaines choses en vous concentrant sur des points accéssoires.

Quand allez-vous réclamer une analyse d'ADN?

Concernant la terre, c'est sûrement celle des pots de fleur de son blcon, lorsqu'il "jardinait" dans les bacs à geranium.

Des preuves impossibles à établir dans le passé pourraient l'être aujourd'hui. C'est dans doûte pour cette raison que le couteau et la pantalon ont disparu dès que la Loi l'a permis, alors que des investigations supplémentaires étaient demandées par les déposants de la première requête en révision.

Si le couteau n'avait pas disparu, de même que le pantalon, on pourrait probablement effectivement procéder avec succés à une analyse de l'ADN. On a bien tenté en 1985 de rechercher l'heure du crime...

Quant à considérer comme accessoire la propriété du couteau et la nature des tâches de sang, ou de terre ... c'est comme vous voulez.

J'affirme, ou plus exactement je ne me souviens pas d'avoir frappé sur le crâne de l'enfant avec une pierre.

Pas besoin de parler des galets d'Etretat, il faut juste trouver des pierres sur un terrain où il n'y a à l'origine aucune pierre.

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Membre du conseil de l'ordre des marabouts de la forêt sacrée en Afrique de l'Ouest

Ce point là est intéressant...ne connaissant pas la configuration des lieux, etes vous sur de cela dalakhani ?

«J'étais comme une bête féroce, traquée par les chasseurs. Je me sentais poursuivi. L'accident m'avait rendu fou. Alors j'ai sorti mon couteau à cran d'arrêt. Je ne savais plus ce que je faisais. Je lui en ai porté plusieurs coups à la gosse. Dans le même temps, je l'empêchais de crier en maintenant sa bouche contre mon pantalon. Quand elle a cessé de respirer, j'ai meurtri son visage à coup de pierres. Je voulais la défigurer. » Christian Ranucci (France-Soir samedi 8 juin 1974)

Ranucci s'était livré à France Soir selon vous ? On a du le laisser sortir un moment ....

Non, ce sont les journalistes qui ont tout inventé

Chaque journaliste a son style, et chaque journal sa ligne éditoriale et son public... Rien n'est faux ni inventé dans la phrase de France Soir, mais la déclaration prêtée à Ranucci est largement enjolivée au regard de ce qu'on sait que contiennent les aveux. Donc surligner des mots de cette phrase n'apporte rien puisqu'elle est inexacte...

" Quand elle a cessé de respirer, j'ai meurtri son visage à coup de pierres. Je voulais la défigurer. "

Je vous arrête : les enquêteurs croyaient que le meurtre avait eu lieu à coups de pierre. Ranucci nous révèle ici pourquoi il a utiliser les pierres (le mobile).

Ne m'arrêtez pas sans preuve !

Vous m'étonnez. Le 6 juin, les policiers ne savaient pas que la petite avait été poignardée ?