Dans cette interview, Gérard Bouladou précise qu'il a fait la demande à toutes les personnes citées par tes soins ... t'as oublié Ardouin dans l'histoire, je crois
Toutes ont répondu la même chose, "la portière gauche n'était pas bloquée" !

Je l'embrassai et rentrai chez moi, inquiète et peinée... II me fut impossible de dormir, car, en revenant de la gendarmerie, j'étais allée au garage, voir l'état de la voiture. Celle-ci était assez défoncée sur toute la longueur, côté conducteur. Le choc avait dû être fort. De plus, le véhicule si propre et si brillant au départ, était plein de boue, même à l'intérieur, surtout à la place à droite du volant. Quel état !

_________________
"Aimons-nous vivants, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent." ( Pierre Delanoë)
http://www.presume-coupable.com

Là, c'est le 5 au soir Bruno, Mme Mathon ne le voyant pas rentrer, a bien du lui porter de quoi grignoter vers 21h/21h30, avant que CR et sa 304 ne soient emballés pour Marseille par G.Alessandra.

Il a bien fallu qu'ils retournent chez elle pour récupérer clé et papiers du véhicule.

Et là, on ignore totalement comment l'inspecteur est monté dans la titine.


D'ailleurs, elle déplore n'avoir pas eu la curiosité de mater le contenu du coffre avant son enlèvement.

Bien sur que c'est le cinq au soir Anne se que je veux soulignai, c'est l'état de la voiture hors mis l'accident , Madame Mathon remarque que la 304 et trés salle, elle et pleine de boue et notamment le coté a droite du volent ce qui laisserai entendre qu'il y a eu un passage intense de ce coté là

_________________
"Aimons-nous vivants, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent." ( Pierre Delanoë)
http://www.presume-coupable.com

Ce qui signifie : une couillasserie de plus racontée lors de l'interview sur Chérie FM.
Pas eu besoin de faire de la gym que l'on soient flics ou journalistes

Bruno a écrit : « Je l'embrassai et rentrai chez moi, inquiète et peinée... II me fut impossible de dormir, car, en revenant de la gendarmerie, j'étais allée au garage, voir l'état de la voiture. Celle-ci était assez défoncée sur toute la longueur, côté conducteur. Le choc avait dû être fort. De plus, le véhicule si propre et si brillant au départ, était plein de boue, même à l'intérieur, surtout à la place à droite du volant. Quel état ! »
De quand est ce témoignage ?

Il semble que le 5 juin elle constate avec les journalistes descendus avec elle au garage, que la carrosserie est à peine enfoncée, que l’accident n’a pas dû être si grave que ça…..
Si elle remarque le paquet de biscuit posé sur la banquette arrière, la carabine enroulée dans une serviette éponge sur le plancher il semble qu’elle ne parle pas de l’état de propreté de la voiture, de boue côté passger, en tout cas les journalistes ne le rapportent pas……..

Yargumo bonsoir, quand elle est descendue au garage, c'était pas avec les journaleux mais avec les bourres ...nette différence, n'est-il pas ?

Possible aussi qu'elle y soit venue seule à son retour de la gendarmerie avant la saisie de la 304 par Alessandra.

Mme Mathon est bien descendue au garage avec les journalistes de Nice-Matin. Le fait est rapporté dans le journal du 6 juin.
Il est coroboré. En effet, il existe une photo de Mme Mathon, dans le garage, à côté de la voiture. Cette photo, à part les journalistes, je ne vois pas qui aurait pu la prendre.

Je ne conteste pas ce fait.

Je parle du 5 juin au soir, lorsqu'elle revient de la gendarmerie après être allée porter un en-cas à son fils qui tardait à revenir.

je crois vous avoir donné la réponse anne
c'est relaté dans le POR

Dans ce cas, pourquoi avoir écrit cela ? Moi aussi.

Sur cet « épisode », Gilles Perrault a un peu « brodé » dans le Pull Over Rouge. Mme Mathon serait d’abord passée, au garage avec le photographe De Casties, puis par la suite, elle y serait descendue avec le journaliste Leonetti. Qui donc aurait fait la photo qui a été publiée dans le journal et sur laquelle, on voit Leonetti, à côté de la 304 accidentée ?

Que faisait un journaliste le 5 juin avec Mme Mathon, puisque logiquement lorsqu'elle revient de la gendarmerie (je ne parle pas de Gioffredo) à 200m de chez elle, elle est sensée être seule et les mains vides puisque CR a été embarqué pour le délit de fuite ?
Elle dit avoir été au parking, constaté les dégâts sur le côté conducteur et déplore de n'avoir pas eu l'idée d'ouvrir le coffre de la voiture. C'est donc avant que les bourres arrivent (ceux de Gioffredo).

S'il y a journaliste, c'est uniquement après l'arrivée d'Alessandra lors de la fouille de la 304 et sa saisie pour Marseille ? le journaliste n'a pu venir qu'avec les enquêteurs, comment aurait-il connu l'adresse de Mme Mathon autrement ? Mme Mathon a donc du se trouver à 2 reprises dans ce parking.
Juste une histoire de logique, faut bien qu'il y en ait un peu dans tout cet imbroglio ...

voici ce qu'écrit G Perrault dans le POR :
"Sa mère, sortant de la gendarmerie, a été accostée par un homme en civil qui lui a dit : « Il est tard, je ne vais pas vous laisser remonter toute seule. » Désemparée, elle a accepté l'offre, croyant que l'inconnu était le père ou le frère d'un gendarme. La caserne Vasseur, où a été conduit Christian, est un vaste complexe de locaux administratifs et de bâtiments d'habitation situé à quelques centaines de mètres au-dessous de la résidence des Terrasses de la Corniche fleurie. Un raccourci, simple sentier de terre battue, réduit encore le trajet.
Accompagnée de l'inconnu, elle passe au garage de la résidence pour jeter un coup d'oeil au coupé Peugeot qu'elle n'a pas revu depuis le retour de Christian, quarante-huit heures plus tôt. Les dégâts sont sérieux - la carrosserie est froissée sur le côté gauche - mais n'imposent pas l'idée d'une collision dramatique. Elle s'en trouve rassurée. L'inconnu exhibe alors un appareil photographique et prend plusieurs clichés. C'est un reporter photographe de Nice-Matin, Gilbert Castiès. Elle est étonnée qu'un accident de la circulation suscite tant d'intérêt.
Le journaliste Paul-François Léonetti arrive un peu plus tard; il avait envoyé son photographe en éclaireur."

et voici ce qu'écrit Mme Mathon dans "cahiers - Mme Mathon" :
"A 19 h 30, inquiète de ne pas le voir revenir, je lui prépa­rai deux sandwiches, des fruits, de l'orangeade et lui portai ce petit ravitaillement avec un strict nécessaire de toilette, à la gendarmerie, assez proche de chez nous.
... Je demandai à voir Christian 5 minutes pour lui don­ner ce sac de vivres... Christian me rassura encore: « Ce n'est pas grave. Ne t'en fais pas, Maman. A demain. »
Je l'embrassai et rentrai chez moi, inquiète et peinée... II me fut impossible de dormir, car, en revenant de la gendar­merie, j'étais allée au garage, voir l'état de la voiture. Celle-ci était assez défoncée sur toute la longueur, côté conducteur. Le choc avait dû être fort. De plus, le véhicule si propre et si bril­lant au départ, était plein de boue, même à l'intérieur, surtout à la place à droite du volant. Quel état !
Je n'eus pas la curiosité de regarder les places arrière, ni le contenu du coffre..."