Citation :
"Si j'ai baptisé ce matraquage de « vietcong » c'est que, par la suite, j'ai appris que les Vietcongs, pendant la guerre d'Indochine, interrogeaient leurs prisonniers de guerre par cette méthode entre autres. Certains en sont morts, d'autres en sont devenus fous, cela est fonction de la durée du « traitement ». Une petite « séance » ne fait que rendre parfaitement abruti. Peut-être le commissaire a-t-il fait la guerre d'Algérie ? Ce procédé ayant été importé d'Indochine en Algérie."
(c) Christian Ranucci, "Jusqu’au 28 juillet 1976 - Ecrits d'un condamné", Hachette Littérature.
Donc il lit un livre en prison, puis l'adapte à son histoire pour la ressortir au procès.
Tout est plus clair maintenant.
Le procès aurait duré plus longtemps, il nous aurait parlé de la "Gégène"...