Ce n'est vraiment pas la meilleure manière de me faire taire. Croyez-moi !

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« Les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout va bien » Pangloss.

D'ailleurs, et ceci s'adresse à tous ceux qui ont utilisé, une fois au moins, les Écritures pour argumenter, d'origine divine ou non, et parce que celles-ci font partie des ciments de nos principes moraux: que croyez-vous que veut dire " que celui qui n'a jamais pêché lance la première pierre " ? Qu'avant de tirer sur la corde, regarde voir s'il n'y a pas, en toi, un peu de celui que tu vas pendre.
On me reproche une complaisance abusive envers les criminels. Sur quelle base ? J'ai, par exemple, défendu ici, la légitimité (que non légalité) de la vengeance personnelle. Paf ! Je suis haineux. Maintenant je serais cul et chemise avec les tueurs d'enfants. A cause de ma haine, bien entendu.

Si vous voyez dans tout cela un problème personnel, et bien nous ne vivons pas sur la même planète. Utilisons les journaux pour autre chose que se planquer dans le métro, et les philosophes pour autre chose que des petites phrases qui font bien et cultivé. Oui, comme celle que j'affiche depuis peu, comme signature. Moi aussi je sais donner dans le socialement acceptable. Des fois...

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« Les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout va bien » Pangloss.

Observons, par exemple, certains courants de Pensée (oui, avec un grand pet). On y retrouve certains appels à la lutte contre des phénomènes comme: le politiquement correct, la haine, la langue de bois, l'inversion accusatoire, etc..
Mais avec qui raisonnent (résonnent ?) ces gens ? Avec leur miroir ? Je m'accuse, tu m'accuses par l'inversionette...

Note aux précipités: je parle de miroir, donc la droite est à gauche et vice et versa.

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j'ai beau être archi convaincu de l'innocence de C Ranucci, je tiens à garder un certain respect pour la mémoire de MDR.

Quand vous venez exposer votre conception sur la légitimité de la vengeance personnelle, je n'ai pas dit que c'est en cela que êtes haineux. Simplement, je trouve cela totalement indécent dans le contexte de l'affaire qui nous intéresse !

Et franchement, j'en n'ai rien à cirer que vous trouviez que je donne trop dans le "socialement acceptable".

Bah, ce n'est même pas la peine de se décarcasser à rien expliquer. D'ailleurs vous feriez bien de ne pas vous placer au centre de ce que vous appelez ma haine. Cela fait un bon moment que je parle pas de vous, en particulier.

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je ne me place au centre de rien du tout et surtout pas de vous

Cela tombe bien, vu que ce n'est pas ce que je cherche.
Je n'ai pas le sentiment de museler qui que ce soit, je n'empêche personne ici de s'exprimer.
Faudrait tout de même pas exagérer.

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"ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."

Bon, on se calme et on poursuit sans s'entretuer ou bien je m'enerve et je mets tout le monde en cabane?

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"ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."

Peut-on continuer à remettre en cause le mythe du tueur sauvage ou doit-on accepter poulpe comme animal de compagnie ?

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Le tueur n'est peut-être pas un sauvage mais le meurtre est sauvage et on ne peut imaginer un assassin retenant ses coups ...

Imaginer, non. Mais déduire du rapport d'autopsie non plus ?

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« Les malheurs particuliers font le bien général ; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout va bien » Pangloss.

je le pense également

Néanmoins, le rapport d'autopsie laisse penser que la petite a pu bouger et se protéger avec ses mains tandis que son meurtrier frappait.
Cela pourrait expliquer les boutonnières de petite taille, la petite ayant fait obstacle tant bien que mal à la violence des coups.

Mais je reste quand même étonné que pas un seul coup n'ait pu transpercer le cou de part et d'autre.

C'est exactement comme cela que je l'avais compris.

Mais je pense que le principe pourrait aussi - entre autres hypothèses - s'appliquer à l'assassin de MD du fait de l'acharnement manifesté sur la victime.

On ne peut pas l'exclure, en tout cas.

D'ailleurs je demande à la censure d'effacer l'agression intolérable que je me suis permis envers yargumo. Mieux, je vais aller chercher toutes les choses désagréables que j'ai pu écrire, pour tout effacer en bloc. Non, pardon, effacez tout ce que j'ai écrit, les images aussi, ça ira plus vite.

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En attendant la décision de l'administration, je reprends l'histoire du meurtre sauvage.

On a une victime avec 15 blessures par arme blanche et deux par coups de pierres. Un des coups de pierre peut être mortel ou suffisant pour entrainer la perte de conscience de la victime. Des 15 coups portés avec une arme de type poignard, deux sont réellement mortels. Le reste des coups ne peut atteindre une profondeur supérieure à 3 ou 4 cm. Je duplique, très largement, le calcul de Michel62 pour retenir l'objection, bien fondée, de Doornroosje.
Alors qui est capable de m'expliquer où est la sauvagerie, l'acharnement et toutes ces salades apocalyptiques ?

Je ne vais pas accepter que l'on me dise que tuer un enfant, c'est toujours de la sauvagerie, car je ne parle pas de la victime, ni réellement de sauvagerie. Je parle de l'assassin et de son prétendu, jusqu'à aujourd'hui, acharnement. Les efforts de protection d'une fillette peuvent-ils stopper un seul coup porté par un fou furieux ? Je ne voudrais pas tomber dans la description macabre, alors faisons un effort de réflexion.

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