Citation :
En effet, dans l'une de leurs nombreuses versions, Mme Aubert déclare n'avoir pas su distinguer si l'enfant qu'elle dit avoir vu monter le talus était un garçon ou une fille.
Or, si la petite avait les cheveux longs (ce que je crois bien avoir lu ou entendu mais sans pouvoir être formelle), j'imagine qu'elle avait les cheveux sur les épaules ou en queue de cheval (là aussi, je ne peux en jurer mais il me semble bien avoir entendu parler de queue de cheval). A la rigueur 1 ou 2 nattes.
Quand on retrouve l'enfant, elle a les cheveux lachés
Citation :
Sûrement Danou, mais si fétichiste il y a, pourquoi lui laisser ses sabots ?
D'abord, pour la raison qu'en donne Jpasc : c'est plus facile à fourrer dans sa poche qu' 1 ou 2 sabots.
Citation :
Cela dit, je ne suis moi non plus nullement convaincue que la petite ait porté des chaussettes. Il n'est pas impossible du tout que le père, qui a fait la déposition, ait de bonne foi parlé de chaussettes parce que la petite en portait la veille et qu'il avait gardé cette image en tête.
Le lundi de Pentecôte, il faisait très chaud et il est probable qu'elle n'en portait pas.
C'est clair que l'on peut refaire l'histoire et changer les éléments à notre sauce, mais je ne pense pas que l'on trouve une solution en faisant de la sorte.
Il est probable qu'il se soit trompé, mais dans ce cas il est probable que tout le monde se soit trompé.
Citation :
Je serais prête à parier que ni Monsieur ni Madame Rambla ne se sont encore jamais rendu compte à ce jour que la liste des vêtements figurant sur le PV de disposition contenait cette erreur.
Quelle erreur ?
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Et en admettant (ce que je ne crois pas) que Mme Rambla l'ait fugitivement remarqué, je suis certaine que, dans son chagrin, elle n'a pas jugé utile de rectifier ce qui a dû lui paraître un détail sans la moindre importance et qui ne lui rendrait pas sa fille.
Sans la moindre importance ? C'est sa fille que l'on cherche quand même.....
Citation :
Si l'on ajoute à cela que, de son point de vue, l'assassin avait été arrêté et avait fait des aveux, il est normal que cette histoire de chaussettes lui soit immédiatement sortie de l'esprit.
C'est aussi aux enquêteurs de lui rappeller cet élément, élément qui a peut-être un lien avec d'autres affaires, mais c'est sûr que si l'on demande pas on ne pourra jamais savoir.