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En revanche, ce dont je suis persuadé, c'est que pour se cacher, il suffit de rentrer dans le premier chemin, pas le deuxième et qu'il n'était nullement besoin d'aller se fourrer dans un tunnel. Il suffisait d'attendre sous les arbres au premier carrefour et personne ne les aurait dérangé.
Avant de vous répondre, je voudrais que quelqu’un parmi vous soit assez aimable pour me confirmer que ce que vous dites est impossible pour la bonne raison que le premier chemin était barré. On ne pouvait pas y entrer en voiture. Je crois avoir lu ça quelque part dans le livre de Bouladou, mais je ne l’ai pas sous la main. De toute façon, même s’il était possible d’emprunter le chemin en voiture, rien ne dit qu’il était possible pour Ranucci de l’emprunter ce jour là à cette heure là. Il suffisait de la présence importune de promeneurs dans le premier chemin, par exemple, pour le décider à emprunter le second. Vous pouvez donc ranger vos « je suis persuadé », vos « il suffisait de » et vos « il n'était nullement besoin ».
Oui mais dans ces cas là, ne me reprochez pas de faire des hypothèses quand vous passez votre temps à en émettre. La route boueuse qui guiderait Ranucci, c'est une hypothèse, rien d'autre.
Je veux bien moi que la barrière du premier chemin ait été fermée, je ne vais pas affirmer le contraire, je n'en sais rien, mais ce que je sais, c'est que Ranucci ne parle jamais d'une première entrée qui précèderait une seconde. Pour lui, il n'y a qu'une entrée. C'est pour moi un indice sérieux qu'il n'a pas pu expérimenter la première barrière, sinon il en aurait parlé.
Deuxièmement je ne vois pas ce qu'il va foutre dans un tunnel. Et je reste sur mon idée que si on a emmené la peugeot dans le tunnel c'était pour y rechercher quelque chose.
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Vous n'expliquez pas les raisons pour lesquelles il fallait s'enterrer à ce point pour se cacher pour ensuite aller chercher du secours.
Une fois de plus, vous ne dites pas la vérité : je l’explique et vous ne pouvez pas prétendre le contraire, parce que vous m’avez répondu sur ce sujet en privé et sur ce forum.
Ils se cachent au fond d’un trou pour essayer d’échapper aux battues policières (par terre et par air) qu’ils croyaient imminentes. Ils essaient ensuite d’en sortir une fois l’alerte passée. Ranucci va chercher du secours parce qu’ils n’arrivent pas à désembourber la 304.
Une dernière chose : « attendre sous les arbres au premier carrefour » ne permet pas d’échapper à la vue des hélicoptères.
Encore une fois, lorsque vous prétendez qu'ils craignaient des hélicoptères, vous émettez une hypothèse qui n'est corroborée par rien.
C'est la première fois que j'entend dire que lorsqu'on enlève une gamine on craint la demi-heure d'après des poursuites en hélicoptères.
Vous ne croyez pas que le ravisseur sait très bien qu'il va se dérouler un petit moment avant qu'on n'ait l'idée d'aller au commissariat signaler la disparition et qu'avant d'envoyer des hélicoptères sur Gréasque (pourquoi pas sur les autres directions) eh bien on va interroger les parents et que cela va prendre plusieurs heures. Et pour preuve, on a cherché tout azimut et on ne s'est concentré sur Gréasque que parce que Aubert a téléphoné, puis Martinez en signalant l'accident ?
Vous ne croyez pas qu'il y a une petite maldonne entre le fait qu'il se cacherait dans un tunnel par crainte d'hypothétiques hélicoptères (à quand les chars d'assaut ?) et d'aller tranquillment demander du secours à Rahou, cette disjonction entre les deux actions ne vous posent pas de problème, moi si...
Vous ne croyez pas que l'accident même rend votre thèse difficile, parce que cela signifie qu'il n'était pas prévu qu'il aille là et que donc il est très peu probable qu'il ait connu cet endroit et que donc il n'avait aucune chance de trouver ce tunnel.
Donc effectivement, je préfère une version où celui qui conduit la peugeot, c'est quelqu'un qui connaît parfaitement cet endroit et qui a quelque chose à rechercher dans le tunnel et que rien n'empêche qu'il ait poussé ranucci sur le siège arrière pour prendre la voiture dont les clés se trouvaient sur le contact.