Citation :
Il faut que ses enfants se trouvent dans cette cour pour qu'un dialogue ait lieu, si les enfants sont à 11h05 en bas de la cité et que leur mère les appelle c'est très compliqué encore plus si elle habite là où le pense arlaten.
D'abord, merci pour les escaliers.
Pour moi, c’est assez clair, les derniers témoins qui ont vu les enfants sont Pierre Blanc et Mme Niccoux.
Pierre Blanc dit avoir vu les quatre enfants jouant dans les escaliers qui descendent du square.
Mme Niccoux dit avoir vu les quatre enfants jouer « dans le jardin » au moment où elle partait en course. A son retour il n’y avait plus que « les enfants du boulanger ».
Les enfants étaient donc entre les escaliers et le square. Et là, Mme Rambla , de sa fenêtre, n'a aucun problème pour les appeler.
Citation :
Peut-être, comme le dit Rosano quelque part, parce qu'à un moment donné ils ont aperçu d'autres enfants (les nièces de Rosano, d'après ce qu'il dit) qui jouaient avec un petit chien blanc devant les garages et qu'ils ont voulu se joindre à eux.
Rosano, trente ans après raconte n’importe quoi. Certes, il a du, lui aussi, voir les quatre enfants, mais pas devant les garages du bas. Il les a vu, de l’endroit où Pierre Blanc l’a vu et salué, c'est-à-dire depuis les trois garages qui sont à côté des escaliers.
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Les enfants de cet âge bougent beaucoup, courent dans tous les sens, vont et viennent. En ce qui concerne Marie-Dolorès et Jean Rambla, je suis certaine que dans la matinée ils ont fait le tour du bâtiment et se sont retrouvés alternativement dans la cour et devant les garages un nombre incalculable de fois.
Pourquoi limiter leur périple à ce seul bâtiment ?
Le petit Jean dira à Grivel : "
je suis parti derrière le bâtiment et j’ai fait le tour de la cité." Puis, «
j’ai cherché ma sœur partout dans la cité ».
C’est par la fenêtre de sa cuisine, donc côté parking, que Mme Rambla va voir le petit Jean, tout seul.