Cet interrogatoire de derniêre comparution est tout simplement indigne. La juge profite bien entendu du fait que les avocats ne se sont pas déplacés. Qu'est-ce qu'elle fait : elle prend les piêces du dossier une à  une et elle fait recopier par la greffiêre et elle passe son temps à  dire à  Ranucci : vous ne pouvez pas nier : vous avez fait un plan, donc vous y étiez.

Il n'y a pas d'avocat, qu'est-ce que vous voulez qu'un jeune homme de vingt ans puisse répondre à  ce genre de manoeuvre ?

Elle recommence pour le couteau, mais surtout, elle ne demande jamais d'où il vient, surtout pas. Et il n'y a pas d'avocat.

Il y a un moment donné, on ne peut pas se moquer de la gueule du monde. C'est tout ce qu'on veut, mais pas une instruction.

Elle s'est dit, oh de toute façon, j'ai le parquet qui m'a dit comment faire, ce n'est plus mon problême, s'il crêve sur l'échafaud, tant pis, moi, je veux ma tranquillité.

Et c'est tout.

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.

Il ne peut pas fournir des renseignements par téléphone à  Gras, il n'est plus avec les policiers, ni donc a fortiori avec le gendarme de liaison. Ce que vous racontez est tout bonnement impossible. Gras est en communication avec la police et c'est la police qui le guide (comme c'est bizarre, c'est donc la police qui sait où se trouve le couteau ? Tiens tiens...) et peut-être avec son gendarme qui assure ladite liaisonn téléphonique. Ranucci est chez la juge ou dans le panier à  salade en route pour les Baumettes.

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.

ah bon ? tiens c'est nouveau ça. Vous avez un PV de cela ?.

es vraiment le plan de la cité ste agnés qu'il a dessiné ranucci ne seresse pas par hasard le 51 rue alphonse daudet qui avec quelque arrangement devient la cité ste agnés.

ça vaudrait le coup d'aller vérifier tiens !

vue du ciel sa ressemble pas mal

Toujours d'excellentes idées, Bruno !

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http://www.presume-coupable.com

C'est bizarre que Ranucci ait laissé tomber l'idée de retrouver son "pote" Benvenutti s'il était garé devant chez lui. Il a dû s'asseoir sur le muret, regarder la zone d'herbe, et se dire : "Non, ça n'est sûrement pas là ." Pas de bol : c'était pile l'endroit ! Il aurait quand même pu lire les plaques des rues avant de repartir.

Le 51, rue Alphonse Daudet est-il un immeuble ou bien un pavillon ?

Car s'il s'agit d'un immeuble, Ranucci a três bien pu trouver l'adresse et être demeuré un moment sur place, sans pour autant être parvenu à  trouver son copain

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et ça se trouve, la rue Alphonse Daudet est une rue en pente ?

est ce qu'un Marseillais pourrait aller jeter un oeil ?

je comprend pas ton post marc, il a marqué la rue albe sur le plan qu'il a dessiné

en vue aerienne sa ressemble a un immeuble mais c'est peut êtres plusieures pavillon alignés en tout cas ils sont accolés

voici une vue aérienne de la rue Alphonse Daudet.
Il est possible qu'au début les flics aient tout simplement demandé à  Ranucci de dessiner l'endroit où il est allé à  Marseille voir son pote de régiment Benvenutti. Et qu'ensuite, ils l'aient "aidé" à  se souvenir sans lui imposer mais juste suggérer puisqu'aprês avoir avoué, il était "à  point" pour ne plus contester.

Bruno, tu craches le morceau trop tôt... Laisse les autres rêver un peu.

Oui, il est aussi possible qu'il ait décidé de dessiner lui-même l'endroit où il avait enlevé Marie-Dolorês Rambla, comme des témoignages me le laissent à  penser... contrairement à  votre hypothêse qui ne repose sur rien et vise seulement à  contrer un point avoué maladroitement par Ranucci le 27 décembre 1974.

Dans ces cas-là , autant choisir n'importe quelle rue de Marseille qui ressemble, ça fera l'affaire, pourvu qu'il y ait eu un muret et une zone d'herbe à  l'époque, quand même, et surtout pas de platane.