Citation :
Ce qui me choque, c'est qu'on s'en prenne à la liberté d'expression.
Pour reprendre l'exemple du Cirque rouge : je déteste ce site alors que je respecte celui où nous sommes.
Si les 2 sites m'inspirent des sentiments différents, ce n'est pas en raison de mon opinion sur l'affaire puisque, justement, je n'ai pas de conviction tranchée. Il m'est aussi souvent arrivé de pencher pour l'innocence que pour la culpabilité. S'il faut vraiment quantifier, je suis à 50/50 depuis 30 ans.
Si je dis que je le Cirque rouge me déplaît alors que j'ai beaucoup de respect pour le site dirigé par Ludivine, c'est parce que je trouve le niveau et le ton du premier primaire, de bas étage, orienté, imprécateur, haineux, bref, tout ce que je déteste. Alors que Ludivine et les autres modérateurs s'efforcent en permanence de combattre tout ce que je viens d'énumérer et que je déteste tant et font tout pour maintenir sur ce forum un esprit d'objectivité et d'humanisme.
Pourtant, je dis et j'affirme que, aussi détestable que je puisse trouver Le Cirque rouge, je désapprouverais totalement son interdiction par voie de justice.
Danou,
Bien que n'étant pas totalement d'accord avec toi sur cette question (on pourra en reparler ailleurs plus calmement), je comprends très bien ce que tu exprimes.
Néanmoins, il ne me semble pas opportun d'assimiler (réduire ?) la condamnation de G.Perrault à un problème de violation de la liberté d'expression.
Mettre le livre de Perrault dans le même sac que le cirque rouge, les ouvrages à scandale ou tout autre chose du même genre, je ne suis pas d'accord.
Gilles Perrault soutient une idée qui est le strict reflet de la réalité dans la mesure où elle est confirmée par des faits concrets et incontestables, à savoir que des policiers en fonction à l'Evéché au moment de l'affaire Ranucci ont failli à leur tâche.