Citation :
Après, en parcourant les posts, je lis que :
1- mr Rahou dit qu'il s'est longuement lavé les mains, qu'il s'était fait enlevé des piqûres sur ces mêmes mains...
2- Que sa maman ait pu le couvrir car elle était au courant...
3- que c'était étrange qu'il soit resté presque 6 heures sur ces lieux..
4- le délit de fuite inexplicable pour moi... Je peux quand même me poser des questions à charge et à décharge (comme çà se dit) en penchant parfois d'un côté, parfois de l'autre.. c'est comme çà..
Vous devriez suivre les conseils de dalakhani, il est préférable de lire les pièces du dossier plutôt que de croire ce que disent certains
Pour le point 1, c'est faux, M Rahou père n'a jamais déclaré une telle chose. C'est Rahou fils qui le dit 30 ans après !
Pour le point 2, elle était au courant de quoi ? qu'il était le meurtrier ? si son fils lui avait confié ce terrible secret, je ne pense pas que, bien qu'étant maman, elle se serait tue. Je suis convaincue que Mme mathon est une femme honnête. Elle n'aurait pas laissé passer cela.
Pour le point 3, pourquoi étrange ? il s'est garé à proximité (quelques mètres) de l'entrée de la galerie et étant fatigué il s'est endormi dans sa voiture. A son réveil, donc quelques heures plus tard, il a constaté que sa voiture était embourbée. Il a essayé de s'en sortir seul mais impossible d'y arriver, ça n'a fait qu'empirer la situation.. Il ne lui reste plus qu'à demander de l'aide, ce qui n'est pas exactement le comportement normal d'un meurtrier. D'ailleurs, M Rahou père l'a même trouvé plutôt calme.
Pour le point 4, que vous dire ? il est jeune conducteur, un peu distrait, mais il a conscience qu'il a fait une bêtise à ce carrefour de la Pomme qui risque de lui couter cher. Alors il choisit la moins bonne des solutions en fuyant, espérant ainsi échapper à la sanction.
Je ne vois rien d'extraordinaire là-dedans. Ce n'est pas un cas isolé.
S'il y avait eu un enfant dans sa voiture, je suis convaincu que M et Mme Martinez et M Aubert auraient remarqué sa présence au carrefour. On sait que ce n'est pas le cas.