Citation :
« Je reconnais qu'ici, par défaut, nous pouvons utiliser le sens de déplacement de la voiture de Ranucci, après l'accident, donc vers Marseille. »
Et bien, puisque nous sommes d’accord, pourquoi me contester alors que vous dites exactement la même que moi. Etait-ce bien utile ?
Relisez moi, ce n'est pas cela que je contestais.
Vous avez écrit:
Citation :
Le mot aval justifie la position "dans le sens de la pente"
et je vous ai répondu:
Citation :
"Dans le sens de la pente" ? Grossière erreur car s'il n'y avait pas de pente, nous ne pourrions pas déterminer ni d'amont ni d'aval.
Sur une route, l'amont ou l'aval sont déterminé par rapport au sens de déplacement.
Donc, ce sens, il faut toujours l'indiquer.
Vous vous livrez à un drôle de jeu qui ne trompe personne.
Citation :
«lors de la reconstitution, la Juge a fait placer la 304, là à 10m en aval de l'aplomb? »
Je l’ai évalué par rapport à l’hypoténuse d’un triangle rectangle, dont on ne connaît qu'un seul côté : la distance du corps à la route soit 21.50 m. Je l’ai déjà expliqué 2 fois sur le forum, je n’y reviens pas.
Vous avez vraiment des capacités en géométrie. Faire une évaluation par rapport à quelque chose que l'on ne connaît pas,...... il ne faut avoir honte de rien pour écrire cela.
Citation :
«l'hypoténuse et contrairement à ce que vous avez écrit, elle fait moins de 25m. »
Puisque vous contestez encore une fois ce que j’ai écrit, j’y reviens.
Si le plus grand côté de l’angle droit mesure 21.50 m, l’hypoténuse est forcément plus grande, mais je n’ai jamais dit qu’elle mesurait plus de 25 m.
C'est pourtant ce que vous avez écrit:
Citation :
1) Le chemin suivi par le ravisseur et sa victime depuis la voiture est l'hypoténuse. Donc, en fait, elle mesure non pas 20 m comme dit plus haut, mais un peu plus (25 m ?)
Citation :
« Je vous questionnais sur les "10m à l'aval du lieu du crime"
Je vous ai répondu alors pourquoi dire que je ne réponds pas ?
La réponse est dans la partie de ma phrase que vous avez volontairement laissée en chemin.
Citation :
Je vous questionnais sur les "10m à l'aval du lieu du crime" et au moment où j'ai écrit cela, j'attendais toujours une réponse de votre part.
Encore une manipulation de votre part.
Citation :
J'ai écrit:
« L'homme que les Aubert ont vu à La Pomme, pensez-vous vraiment qu'ils ont eu le temps de le détailler de la tête aux pieds ? »
Alors pourquoi me contestez-vous en corrigeant par : « et pas celui qui a pris le fuite dans la colline. »
Puisque ce n’est pas ce que je dis.
Encore une fois, une contestation de votre part tout-à-fait inutile. Cela devient lassant d’être sans cesse obligé de se justifier.
Voilà encore une réponse malhonnête.
J'ai écrit:
Citation :
C'est pourtant celui là que Aubert va reconnaître, et pas celui qui a pris le fuite dans la colline.
Je parlais bien de l'homme que les Aubert ont vu à la Pomme. Comme vous. Donc contestation parfaitement justifiée.
Citation :
« De l'endroit où il était "au moment de l'accident", il ne pouvait pas voir le conducteur de la 304. »
Cette fois, c’est moi qui conteste car c’est ce que j’ai lu dans un sous-forum hier soir. Quand il arrive à La Pomme et qu’il s’arrête à droite, la 304 passe entre la voiture de Martinez et la sienne. Voilà pourquoi je disais qu’il n’avait pas eu le temps de le détailler de la tête aux pieds.
D'abord, au cas où vous ne le sauriez pas, sachez que Aubert, au moment de l'accident, était derrière un camion.
En plus, c'est dans ce message que vous avez parlé de "tête aux pieds".
Citation :
"Les Aubert n'ont pas reconnu Ranucci lors du tapissage"
Est-ce parce qu'on ne reconnaît pas quelqu'un lors d'un tapissage que cela prouve qu'on ne l'a pas vu à un autre endroit ?
L'homme que les Aubert ont vu à La Pomme, pensez-vous vraiment qu'ils ont eu le temps de le détailler de la tête aux pieds ?
Ce message, vous l'avez écrit le 9, dans l'après midi (15h25) et vous prétendez avoir été inspiré par un message qui aurait été publié le même jour, mais le soir.
Citation :
« Je rappelle que la compagne somnolait. Elle n'a strictement rien vu ! »
Lorsque j’ai écrit cela, je ne faisais pas état de son PV que je ne connais pas, mais de ce qu’elle m’a dit le mois dernier.
Bon, c’est vrai, presque quarante après, ses souvenirs, comme ceux des autres témoins, ont pu s’estomper.
Vous auriez du en tenir compte avant d'écrire n'importe quoi.
Citation :
« Pourquoi des PV trafiqués ? Il y en avait un et un seul, celui du rajout du pantalon. »
Mais je croyais que la découverte du couteau faisait aussi l’objet d’un PV trafiqué. Un couteau noté sur un PV à une heure où il n'était pas encore découvert. Me serais-je trompé à ce point ?
Désolé, vous confondez, je n'ai jamais avancé cela.
Citation :
« Le plan n'est pas falsifié, il a été décalqué »
Vous vous moquez en jouant sur les mots et ce n’est pas honnête de votre part.
Trafiqué, falsifié, n’est-ce point un gros peu la même chose ?
Trafiqué, ne signifie pas qu'il a été décalqué.
Falsifié, ne signifie pas qu'il a été décalqué.
Trafiqué ou falsifié cela veut peut être dire la même chose, mais cela ne veut pas dire qu'il a été décalqué.
Le plan décalqué ne montre plus que Ranucci connaissait les lieux.
Il montre qu'il y a eu manipulation.
Citation :
« pour moi, le couteau est bien à lui. Son couteau ne me pose aucun problème »
Sauf que si vous acceptez qu’il appartienne à Ranucci, je suppose que vous allez me répondre qu’il n’est pas l’arme du crime. Mais dans ce cas, quel besoin aurait Ranucci de le cacher ?
Pourriez-vous m’expliquer cela sans être obligé d’encore aller chercher une manipulation de qui vous voulez ?
Evidement que son couteau n'est pas l'arme du crime et que ce n'est pas lui qui l'a caché.
Pour le reste, puisque vous parlez de manipulation, vous connaissez ma réponse.
Citation :
« L'innocence est défendable, sans beuverie, sans amnésie, sans évanouissement. »
Et bien voilà, nous y venons tout doucement.
Ecrivez vite ici un scénario de l’innocence qui ne fera intervenir ni PV falsifiés, ni manipulations, ni homme au POR.
J’ai vraiment hâte de vous lire car je l’attends depuis fort longtemps, ce scénario.
Je disais :"
sans beuverie, sans amnésie, sans évanouissement".
Mais je peux faire aussi, sans PV falsifié(s) et sans homme au POR. Pour les manipulations, c'est plus compliqué. Comme elles existent de fait dans cette affaire, les passer sous silence, c'est s'écarter de la vérité.