Citation :
Voila pourquoi je dit, que quand le couteau et retrouvé ranucci et encore chez la juge, et qu'il non pas encore abordé plus serieusement l'énigme du couteau, la juge attend tout bonnement qu'il soit retrouvait ce couteau car elle forcément au courent que
les gendarmes son a la recherche du dit couteau mais dans qu'elle condition ?
Citation :
Cela suppose que di Marino ait une copie des aveux passés devant la police. Si c'est le cas, elle les a lus. Alors c'est étonnant qu'elle ait pu dicter à sa greffière "opinel" ou lieu d'un "automatique" car dans les aveux, c'est bien écrit qu'il s'agit d'un couteau automatique.
L'empressement est certain, il fallait en finir rapidement.
Dans les aveux passés devant les policiers, il est bien question d’un couteau automatique ; Mais au début de l’interrogatoire de première comparution aussi.
Dans les aveux passés devant les policiers, il n’est pas question de l’Opinel. A la lecture de ces mêmes aveux, on ne peut se rendre compte que Ranucci avait deux couteaux.
L’existence de l’Opinel, Melle Di Marino a du en prendre connaissance à un autre moment de cette journée du 6 juin.
Elle s’est rendu à l’Evéché. Elle a « examiné » la 304. Elle a bien du rencontrer le Commissaire Alessandra et consulter le « dossier ». A ce moment les PV où il peut être question de couteau, sont les PV qui concernent Ranucci. C'est-à-dire le PV de la saisie de la voiture à Nice et le PV de l’audition de Ranucci durant la nuit. Dans le premier, il est question de l’Opinel et que de l’Opinel (forcémént).
Dans le second, à aucun moment, il n’est question de couteau. Après avoir lu les aveux que Ranucci a passé devant les policiers, Melle Di Marino « attaque » son intérrogatoire.
A ce moment, aucun documents n'a permis à la Juge de percevoir que dans cette histoire il y a deux couteaux. Par contre elle sait que l’Opinel a été saisi, la veille au soir à Nice.
Si elle a fait écrire Opinel, par sa greffière, c’est qu’elle ne sait pas :
- qu’un Opinel, ça ne peut pas être un couteau automatique
- que dans cette histoire, il y a deux couteaux (on vient de voir pourquoi elle ne peut pas le savoir).
Si elle ne sait pas, que dans cette histoire, il y a deux couteaux, c’est qu’elle ne sait pas que les gendarmes sont en train de chercher le deuxième. Au passage, si elle ne sait pas que les gendarmes cherchent, c’est qu’on ne lui a pas demandé de prolongation de garde à vue.
Citation :
A t-elle corrigé après avoir relu les aveux policiers ou bien est ce C Ranucci qui a signalé l'erreur ?
Comme je l’ai déjà dit, les corrections ne sont pas alignées avec le reste du texte. C’est donc que la page a été sortie de la machine à écrire. Donc, c’est bien après relecture que l’erreur a été découverte. Pour les raisons que j’évoque ci-dessus, ce n’est pas Melle Di Marino qui a pu détecter l’erreur, mais plutôt Ranucci.
Citation :
La juge n'était elle pas au courant que les gendarmes cherchaient le couteau ?
Non, si elle avait été au courant, elle n’aurait pas fait l’erreur.
Citation :
Une réflexion à propos du couteau.
Aucun journal du 7 juin 74 n'est au courant de la découverte du couteau pourtant trouvé le 6 juin.
Les journalistes étaient pourtant omniprésents dans les couloirs de l’Evéché. La veille, ils ont su que le corps avait été retrouvé, et ils se sont précipités dans le bois de Peypin. Là, le 6, ils sont dans les couloirs, attendant le moindre déplacement de Ranucci. La recherche du couteau par les gendarmes est décidée. Si la situation avait été parfaitement claire, les journalistes pouvaient être des témoins de premier ordre, pour la découverte du couteau. Mais là, le secret a été bien gardé. Pas la moindre « fuite ». Les journalistes n’ont rien su. Comme s’il était souhaitable qu’ils ne soient pas là.