Comme convenu ce matin, je vous réponds:
Citation :
Je pensais retrouver ici mon message qui parlait des autres éléments qui coïncident sur ce décalque qui n'est pas un simple rectangle tombé, par extrême malchance, pile sur celui du cadastre. Mais non, ni trottoirs, ni route, ni murette par contre le simple rectangle lui, a résiste le coup et campe là-bas, dans le fil en question, sans plus de problème.
Je me souviens effectivement de votre message, et je ne le retrouve effectivement pas.
Je suppose qu'en voulant l'editer (j'ai entendu supprimer le passage dans lequel vous poussiez ironiquement la chansonnette et qui m'a copieusement agacée, je dois bien l'avouer) je l'ai tout bonnement , et à tort, supprimé.
Je l'admets sans souci, il a du faire les frais de mon emportement. Soit.
Admettez de votre côté toutefois qu'il est particulièrement penible et difficile de tenter de corriger des messages tout en parvenant (sans calme) de leur laisser leur cohérence globale. Mais effectivement, soit.
Citation :
Il me semble qu'il y a beaucoup de gens qui écrivent bien pire et n'ont jamais reçu une remarque désobligeante de ma part.
Très honnêtement votre message m'avait vraiment surprise.
Je ne conçois effectivement pas qu'il soit intellectuellement intéressant, ni même humainement délicat, de relever ce genre de choses dans les echanges sur ce forum. J'ajouterais même que, par le passé, il m'est même arrivé de sanctionner pour ce type de dérive des personnes que j'ai alors estimées méprisantes et imbues d'elles même travers ce type de remarques.
Par conséquent, sur ce sujet, nous sommes parfaitement du même avis.
Citation :
Mon commentaire parlait de clavier américain pour quelque chose. Faire des fautes, c'est une chose, pondre des pages entières sans accents, sans apostrophes, façon poème en prose sautant à la ligne de partout et avec la même ligne argumentaire de toujours, les innocentistes sont des bisounours endoctrinés ( alors que vous même avez rappelé qu'il était préférable d'abandonner ces dénominations ) ou alors l'éternel pinaillage, via citation sur tout et n'importe quoi, en est une autre. Alors d'accord pour que, de temps en temps, si on n'a que les pouces, on passe un message court. Mais là, des duels sans fin maintenus à force de mauvaise foi - non, tout n'est pas relatif, on ne peut d'un coté admettre un décalque, de l'autre parler de simple rectangle au pif - et de post kilométriques tels que je vous les ai décrit ci-dessus, comment débattre avec ça ?
Là par contre, je ne partage entièrement pas votre avis, désolée.
Il me semble que chacun a son style d'ecriture, lui même le reflet de son esprit, sa sensibilité, etc. Je conçois parfaitement que la manière d'ecrire de Syd (puisqu'en l'occurrence il s'agissait de lui) ne vous convienne pas et vous irrite, mais concevez egalement que la vôtre puisse tout à fait susciter des réactions négatives également.
Par exemple, vous avez pour habitude d'ecrire de longues phrases, vous utilisez un langage cultivé et conceptualisé que vous adaptez , selon vous, aux situations rencontrées mais qui peuvent tout aussi bien agacer, déplaire ou lasser celui qui vous lit.
Personnellement, mon style déplait surement, et certains m'ont déjà à ce sujet adressé quelques critiques ( il paraitrait que j'en rédige des tartines
). J'accepte volontiers la critique parce que je sais parfaitement que je ne peux pas plaire à tout le monde.
Seulement, je fais dans ce cas confiance au jugement de ceux qui me lisent et auxquels je déplais pour passer leur chemin dans un tel cas.
Personnellement, je me dois de composer avec les autres et eux composent aussi nécessairement avec moi. C'est ainsi, hélas ou heureusement, au choix de chacun ou des circonstances.
Pour le reste, je suppose que lorsque vous croisez le message avec une personne qui, selon vous, est de mauvaise foi ou qui refuse de vous comprendre, vous pouvez tout aussi bien avoir l'intelligence de ne pas sombrer dans l'agressivité ou l'insulte (hier, nous etions limite..).
Je ne vais pas toutefois vous dire que je considère que le message dans lequel Syd parlait de manière générique des innocentistes me sied et que je le cautionne. Ce serait effectivement contraire à mes principes et surtout à la "politique" que j'entends mener ici.
Toutefois, concevez que dans votre réponse vous n'avez guère fait mieux que lui, à la fois dans l'agressivité et le même type de considérations.
Je crois véritablement qu'il etait tout aussi possible soit d'ignorer purement et simplement votre interlocuteur ( si vous ne vous sentez pas capable de lui répondre sans agressivité), soit de lui répondre en vous cantonnant aux faits et à ce que vous avez à dire sur le fond ( car tel est votre droit le plus strict) en ne rentrant surtout pas dans ces considérations qui ne mènent vraiment à nulle part.
Qu'espériez vous ensuite de moi? que je lise avec le sourire en vous félicitant les uns et les autres?
Faudrait tout de même pas non plus exagérer.
Je l'ai dit et je le répète, je ne suis pas là pour empêcher les gens de s'exprimer. Je considère simplement que l'agressivité et les remarques blessantes ne mènent à rien et surtout ne grandissent pas celui ou celle qui les ecrit. Elles finissent, imanquablement et toujours, par rejaillir sur la personne qui se place hors du cadre en les proférant, tel un boomerang. C'est inévitable.
Rester dans le juste et le vrai ( du moins ce que l'on croit vrai) doit suffire.
Nul besoin de se provoquer davantage, de s'agresser ni de prêter aux autres les pires intentions parce que les conceptions et les approches (sur le fond) sont totalement différentes.
Je ne pense pas que les dérives de ce type rendent le dialogue plus compréhensible. Je peux même vous assurer ( sensation purement féminine? ) qu'en lisant hier soir, j'ai eu le sentiment de prendre une décharge d'agressivité tant les choses deviennent démesurées.
Citation :
Ces deux points me font penser que votre modération est partielle. Je ne réclame rien. Si vous pensez ne me devoir aucune explication, je comprendrai certainement. J'aimerai néanmoins comprendre ce qui se passe.
Mais bien evidemment qu'elle a été partielle...c'est tellement evident que je ne chercherai même pas à le nier.
Je suis avant tout humaine, imparfaite et de surcroit j'etais très en colère ( ce qui n'arrange rien puisqu'effectivement comme tout un chacun la colère accroît dangereusement mon manque de discernement). De surcroît, mon message ne développait tout ce que j'avais à exprimer, face à une situation où j'estime que je devais stopper la rixe.
Pour le reste, je ne vois vraiment pas pourquoi je ne vous répondrais pas (même si je vous avouerais que j'avais initialement rédigé un message plus fouillé et détaillé que j'ai perdu en manipulant le copier coller ( je sais, je suis pas douée
)).
Non seulement, cacher n'est nullement le genre de la maison mais surtout assumer me semble plus courageux et nécessaire.