Ola on parle ici d'un scénario coupable, les gars.
Phidek a écrit,
Citation :
Les aubert sont maintenant très proches et l’enfant se met à crier.
Ranucci à ce moment perd complètement son sang-froid , plaque une main sur la bouche de l’enfant et de l’autre sort son couteau automatique de sa poche.
Tout en entrainant l’enfant vers l’arrière qui à ce moment perd une chaussure il la poignarde a de multiples reprises.
Il relâche son étreinte , l’enfant s’effondre et git au sol .
Faut pas reprendre tout ce que Ranucci dit. Si la petite avait crié, les Aubert l'auraient entendu. Il a donc évité qu'elle crie, par la taper sur le crane, car la séquence est à l'envers.
Je sais, je suis têtue. En entraînant l'enfant vers l’arrière; oui ça explique les égratignures aux mollets.
Citation :
il ouvre son coffre , balance son couteau toujours ouvert dedans et s’éponge les mains.
La séquence qui va suivre doit être rapide car il y a un impératif ;
Le couteau doit obligatoirement arriver à la champignonnière ouvert et le sang qui le recouvre ne peut en aucun cas avoir sécher complètement !
Vus la température ambiante et le fait que le couteau soit dans un coffre qui peut être surchauffer ranucci n’est rester sur place pour la séquence qui va suivre qu’un minimum de temps .
Il décide qu’il doit cacher sa petite victime avant de partir et remonte sur le talus.
Il s’aperçoit alors que celle-ci n’est pas morte et n’ayant plus son couteau prend ce qui lui tombe sous la main ( séquence pierre 1 ) , relâche la pierre et entreprend de trainer l’enfant vers le buisson ou il va la cachée .
A nouveau il s’aperçoit alors qu’il la traine que la petite malheureuse n’est pas encore morte ( séquence pierre 2 ).
L’enfant cette fois ne gémit plus et est totalement inerte .
Je ne suis pas d'accord que le sang doit rester humide. Dans un crime, si sanglant que celui dont nous parlons , le sang pénètre dans tous les trous de l'arme du crime et par manque d’aération restera plus longtemps humide. Par fermer le couteau le sang à l’intérieur du manche ne sera pas effacé. Il y a d'ailleurs une différence entre sang coagulé et sang séché. Coaguler se passe très vite, mais sécher peut prendre des heures dépendant de l'épaisseur de la couche et l'humidité de l'air. Pas de soucis, car Ranucci n'a toujours pas utilisé le couteau,mais il doit revenir pour prendre l'Opinel , car le V.I. ne sert à rien pour couper les branches. L'Opinel non plus, mais il a pu casser les branches en posant l'Opinel contre le bois. Il se rend donc compte en ce moment là, que la petite n'est pas morte et il commence à la piquer jusqu’à elle ne bouge plus.
et commence à la couvrir. Il remets son V.I. dans sa poche droite et l'Opinel dans la poche gauche. l'Opinel n'est que superficiellement taché de sang par ses mains ensanglantées.
Citation :
Notre thanatologue nous démontres par a+b et même c que la mort ne peut être intervenue que le 03 au plus tôt à 22 h avec une marge maximale de 2 heures .
Je voudrais bien connaître les arguments du thanatologue, car il est déjà ridiculisé par des endroits. Mais pour se tenir à lui il faut donc que Ranucci ne s'est pas rendu compte que la petite était toujours vivante qu’après son séjour à la champi. Il est donc revenu après être libéré par Guazzone pour couvrir..... mais non ça ne marche pas. Il aurait déplacé le corps.
Il est donc toujours embourbé et décide d'y aller à pied
Citation :
Rapprocher au maximum la tranche horaire de l’expert et ensuite rentrer dans le créneau des 48 h pour le chien pisteur.
Non il faut oublier le chien-pisteur dans un scénario Ranucci coupable, car le chien n'irait pas à l'aplomb, car la trace de retour serait plus fraîche.
Citation :
Le sang qui se trouve sur la lame et sur les parties mobiles de l’arme est maintenant parfaitement sécher et quelques particules de fumier y sont emprisonnées .
Du fait même de l’état d’inertie du sang au moment où ranucci referme l’arme il n’y aura aucunes traces de sang entre les platines ou dans ce que l’on appelle le réceptacle de la lame.
D'accord pour les particules de fumier. Le reste est du non-sens, car on ne sait même pas, qu'il n'y pas de traces de sang dans le réceptacle du couteau. Vuillet n'a pas démonté le couteau. Je vous assure que si le V.I. est l'arme du crime, il y a du sang dans le réceptacle, du sang qui continuera a tacher la lame chaque fois, qu'on le ferme et rouvre.