Citation :
Jpasc95 :
Franchement, j'ai des doutes sérieux sur ce qu'ont réellement fait les gendarmes de Gréasque.
M Aubert a t-il vraiment appelé Gréasque le 4 juin ? ils auraient écouté son témoignage par téléphone et pris des notes mais n'ont pas demandé son numéro personnel ? Etonnant pour le moins !
Sont-ils vraiment allés à la champignonnière le 4 juin en fin d'après midi ?
Pat 31 :
J e pensais à une chose.
C’est au Fort de Vincennes que vous avez pu vous procurer le double du PV du maître chien.
A cet endroit là il y a certainement des archives de ces premiers jours de juin pour les gendarmeries de Grasque et Roquevaire. Si Monsieur Aubert a appelé et que s’en est resté là, le planton a du obligatoirement au moins consigner sur le cahier cet appel (nom de la personne, jour et heure et motif). Donc si appel(s) d'Aubert il y a eu, il doit certainement bien y avoir une trace de cela à Vincennes.
Jpasc95 :
oui c'est bien au fort de Vincennes qu'il faut s'adresser pour pouvoir consulter un document archivé.
A condition qu'il le soit évidemment, ce qui ne sera peut-être pas le cas concernant les appels de M Aubert le 4 et 5 juin à la gendarmerie.
J'ai contacté M Monnin, adjudant à Aubagne à l'époque, pour lui demander si sa gendarmerie tenait un journal, ce qu'il appelle lui une main courante des appels téléphoniques. Sa réponse a été non.
J'ai contacté un gendarme de Marseille à la retraite, lui m'assure qu'il y avait bien une main courante mais "non officielle" et selon lui, très peu de chance qu'elle soit archivée à Vincennes.
Bon, je vais quand même écrire à Vincennes pour être fixé.
D’abord bravo pour avoir passé ces coups de téléphones à Monnin et au gendarme marseillais à la retraite.
Ils ont la belle vie les ‘’culpabilistes’’. Ils ont juste à attendre assis dans un transat, en sirotant une grenadine. Le bleu de chauffe c’est pour nous.
Citation :
Jpasc95 :
J'ai également les coordonnées d'un ancien gendarme de Roquevaire qui était en fonction en 1975 et que je dois rappeler.
Vous avez raison, s’il n’y a pas de trace de la main courante à Vincennes, elle est peut-être restée dans une pièce quelque part à la gendarmerie de Roquevaire.
Là j’anticipe, mais dans l’éventualité qu’il n’y en ait pas trace, ce pourrait-il qu’à moment donné, la main courante, comme d’autres documents anciens, ait été détruite pour faire de la place ou lors d’un déménagement dans une gendarmerie plus moderne. Là j’avoue que j’ignore ce que dit la loi à propos des documents administratifs militaires. Est-que tous les documents doivent être archivés, ou bien certains peuvent être détruits et combien de temps après ? La loi a-t-elle évoluées et dans quel sens entre 1974 et aujourd’hui.
- Mais comme je viens de le dire j’anticipe peut-être un peut trop vite en me posant toutes ces questions.
De toutes façons, ces piste refermées, on aura enfin la confirmation si Aubert a ou n’a jamais appelé Roquevaire