Ce ne serait pas à lui seulement de se relire, mais à d'autres. C'est bien là le problème. Je le crois d'une honnêteté irréprochable, mais en vase clos, on commet des erreurs.

Nous on a lu et relu... Ce qui est inadmissible c'est d'être critiquable lorsqu'on prétend critiquer.

Oui, enfin, l'erreur est humaine, quand même. Einstein racontait parfois des conneries.

C'est de l'acharnement thérapeutique...

De qui, de quoi ? Bouladou s'acharne à soigner une enquête en piteux état, c'est ça ?

D'une part oui . Je pensais surtout à votre propre acharnement à soutenir M.Bouladou.

Dans mon post sur la Simca 1100 de Panzani, je montre en quoi il a tort sur une certaine affirmation faite dans une émission. Je n'ai jamais défendu monsieur Bouladou. Je le trouve trop sûr de son affaire. Il met l'indicatif là où je mets le conditionnel. A part ça, il a l'air très cool.

Peut être bien un peu trop cool effectivement.

Ceci dit bonne nuit...

Bonjour Marc, je suis relativement d'accord avec vous sur vos propos concernant M. Bouladou, mais deux remettent en cause mon impression plutôt positive du personnage au départ :
- le fait de défendre mordicus l'enquête, de laisser entendre qu'elle a été bien mené, me pose vraiment quelques problèmes. On peut croire Ranucci innocent ou coupable ou complice, mais une chose est certaine, l'enquête est mal réalisée, parce que trop de questions se posent.
- je ne vais pas revenir dessus 107 ans, mais sa réaction à l'une de mes questions sur un forum m'a déçu. Son retour ici me permettait de croire qu'on aurait pu en discuter. Le temps me dira si j'ai raison.

Et je suis d'accord aussi avec son emploi de l'indicatif. Je ne suis pas en train de fustiger M. Bouladou, je dis que son livre, comme celui de G. Perrault est partisan, et ne donne pas la vérité, mais une vérité qui est la sienne. C'est la seule certitude qu nous avons.

Bonjour,
Je n'ai malheureusement pas le temps de poster longtemps.
Pouvez vous citer l'endroit de mon livre où j'écris que l'enquête a été bien faite ?
Voulez vous que je vous cite les passages de mon livre où je dis qu'elle n'a pas été bien faite ?
Lorsque j'ai écrit, en me trompant, ce qui a été corrigé dans la 2ème édition, que Spinelli avait été présenté au milieu d'autres inspecteurs, est-ce qu'il y'en a qui croient que j'ai voulu faire entendre que Spinelli était inspecteur ?
Est-ce que vous croyez qu'en postant éternellemment sur des éléments aussi lamentables, vous approcherez la vérité sur l'affaire Ranucci ?
C'est Spinelli qui dit dans son interview qu'il avait le soleil dans les yeux.
Et il est vrai qu'en sortant de son garage, le soleil était en face de lui. Lorsqu'il a tourné la tête et qu'il a vu la scène qui se passait en bas de la traverse d'Albe, il était ébloui.
quand je vois que JPSC95 dit qu eles Auberts étaient éblouis lorsqu'ils ont vu la 304 arrétée, il oublie lui tout simplement que les pare soleil existaient en 1974.
Quant au pull over, tous ceux qui ont extrait des photographies du documentaire de 13ème rue peuvent remarquer qu'il a de grosses taches foncées vers le bas (qui ont du s'atténuer avec les années) et que s'il était taché de boue comme me l'a indiqué Canonge, cette boue a dû "un peu" sécher en trente deux ans et disparaitre.

G Bouladou

"quand je vois que JPSC95 dit qu eles Auberts étaient éblouis lorsqu'ils ont vu la 304 arrétée, il oublie lui tout simplement que les pare soleil existaient en 1974."

désolé mais je n'ai jamais dit cela.

Vous faites erreur sur la personne.

Bonjour Gérard
Vous pensez quoi de ce Roger qui vous interpelle en vous demandant de le contacter pour vous donner des infos sur le pantalon et le couteau ?
ça ne fait pas très sérieux mais en savez vous un peu plus ?

Bonjour Gérard, je suis plutôt content de vous trouver aujourd'hui. Je suis de ceux qui cherchent la vérité. Je n'ai pas choisi entre culpabilité et innocence, parce que je ne sais pas ce qui s'est passé, et que je n'ai pas à ma connaissance constater de preuve tangible de la culpabilité. Il existe des éléments qui serve une thèse ou l'autre, mais rien d'irréfutable. Concernant la voiture reconnue par M. Spinelli, je reste persuadé qu'il a vu et reconnu une Simca 1100. La question est de savoir si la scêne dont il a été témoin est celle de l'enlèvement. Rien n'est moins sûr.

Je dis que M. Spinelli ne se trompe pas parce qu'il est carrossier depuis un moment, et donc que c'est quelque chose de naturel pour lui. Je travaille dans l'automobile, je sais ce que c'est. Mais surtout n'oublions pas qu'il a précisé dans sa déposition qu'il savait reconnaître tous les types de voitures, étant carrossier de métier. Donc il est est apparemment sûr de son fait (pourquoi s'obstiner sinon...). Il a vu une Simca 1100. Est-ce qu'il a vu le ravisseur emmener Marie-Dolores? Pas sûr par contre.

J'ai une petite question d'ailleurs : savez-vous quel type de Simca-Chrysler a désigné Jean Rambla aux enquêteurs? Ce serait vraiment sympa de nous renseigner, cela mettrait fin à un débat sur l'historique automobile de la marque !

Puisque c'est Gilles Perrault qui a introduit le doute en vous, acceptez qu'il vous l'enlève. Dans son dernier opus il écrit que Jean Rambla a reconnu une Simca Chrysler 180 (de mémoire) mais je vous donnerai la page, je n'ai pas le livre avec moi.

Quant à  M. SPinelli je suis prêt à vous envoyer un petit fichier MP3 dans lequel vous pourrez entendre ce qu'il m'a dit et vous en serez très surpris(e)