Citation :
Donc, webrider, si je vous comprend bien, ça fait belle lurette que vous ne trouver pas G. Perrault crédible, c'est bien ça?
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Pour l'erreur sur les témoignages, il peut s'agire d'une erreur de M. Bouladou comme de son éditeur. Je ne sais pas. Mais si vous tenez le même discours auprès des déclarations de M. Perrault, c'est que vous ne le pensez pas crédible. Sinon, c'est un manque de cohérence.
Ben non... Je ne fais jamais de parallèle entre deux personnes ... les comportements ne sont ni contagieux ni standardisés. Les erreurs de l'un n'ont rien à voir avec les erreurs de l'autre... ce qui ne les empêche pas de pouvoir être l'un et l'autre avenants avec leurs interlocuteurs.
Dans son premier livre, M.Bouladou a dénoncé des dizaines d'erreurs de G.Perrault + celles de son confrère Fratacci. Le problème est que lui même commet des erreurs, se contredit et droit dans ses bottes nous dit qu'on ne comprend rien à l'affaire...
Peu importe en fait : les enjeux de l'affaire ne sont pas dans un (singulier)combat(singulier) entre MM.Bouladou et Perrault.
En ce qui concerne la ressemblance entre l'arrière de la S1100 et de la 304 ( et m^me de la R16 ...) c'est un thème subjectif : M.Perrault peut les confondre s'il ne les voit brièvement que de l'arrière, de même que les jurés, les policiers, la Cour et les 9/10emes du public et probablement M.Bouladou, à moins qu'il ne soit aussi expert en voitures. Mais M.Spinelli ne peut pas les confondre. M.Aubert non plus a priori...
Il était donc extrêmement pernicieux au procès de faire circuler parmi les jurés les clichés des deux voitures au moment où E.Spinelli affirmait que lui savait les reconnaitre à coup sûr.
Vous savez reconnaitre les automoteurs diésels de la SNCF depuis 1950 ?
Il n'y a en revanche aucune subjectivité dans le fait que G.Perrault ait ou non parlé avec MM.Spinelli, Guazzone et Alessandra. M.Bouladou a déclaré que c'était faux. Puis il a écrit que ces braves gens ont prétendu n'avoir rien dit à G.Perrault au fin prétexte que celui-ci aurait déformé leurs propos... on n'est pas dans l'appréciation là. on est dans le vrai ou dans le faux.
C'est un peu différent.