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Gihel a écrit:
Pour moi, je ne vois pas d'autre solution que celle de cet homme prenant sa place et le conduisant là parce que lui connaît cet endroit.
Ce n’est pas un argument. Vous même, vous êtes bien allé jusque dans la galerie et personne ne vous y a emmené.
Ha vous parlez d'un raisonnement ! Il y a une énorme différence, certes je n'étais jamais venu, mais je la cherchais. ET on a mis une demi heure pour trouver l'entrée.
EN LA CHERCHANT !!!!!
Christian Ranucci lui ne la cherchait pas. Donc il ne pouvait pas la trouver. Il n'avait qu'une chance très très infime de la trouver, et lui, ne la connaissant pas, comment aurait-il eu l'idée de se mettre en marche arrière avant de descendre.
C'est quelqu'un qui a l'habitude qui fait cela.
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Gihel a écrit:
Je ne comprends pas comment Christian Ranucci pouvait choisir déjà la deuxième entrée et pas la première qui est bien plus praticable.
Le fait que la première entrée soit plus praticable que la seconde n’est pas un argument.
Au contraire, cela en est un, pourquoi il n'emprunte pas la première, qui est bien plus visible que la seconde et qui est plus proche ?
Non, celui qui prend la seconde entrée, il sait où il va et ce qu'il va faire : il vise le tunnel et il le connaît.
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Pour que se le soit (un peu), il aurait fallu que Ranucci puisse comparer les deux entrées. Chose donc impossible dans la mesure où les Aubert peuvent revenir à tout instant.
Alors, raison de plus, si comme vous dites, les Aubert peuvent revenir à tout instant, il faut prendre la première et pas attendre neuf cent mètres plus bas. Ce que vous dites n'a pas de sens. Il ne va pas attendre et en plus une entrée qui se remarque moins.
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S’il prend la deuxième entrée, c’est parce qu’il s’est arrêté juste à côté et non pas à l’endroit où les Aubert ont placé la 304 lors de la reconstitution.
D’ailleurs, il a bien déclaré aux gendarmes de Nice :
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je me suis arrêté sur le bord de la route pour réparer. A cet endroit, un chemin se trouvait sur ma droite, fermé par une barrière
Ce que vous dites est impossible, les Aubert certes peuvent se tromper, mais ils se sont arrêtés sur le terre plein, et il n'y a pas de raison qu'ils confondent. Et Ranucci était garé dans le creux, tout près malheureusement de l'endroit où se trouvait le corps. On peut manipuler les distances, c'est sûr, mais pas à ce point là, il faut être raisonnable tout de même. Vous nous parlez de la deuxième entrée !!! 1 km plus bas !!!
Ce qu'il dit aux gendarmes de Nice n'a pas de sens, c'est pour essayer de justifier le fait qu'il s'est retrouvé dans le tunnel après une cuite.
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Gihel a écrit:
Pourquoi il se serait tant enfoncé alors qu'au premier virage, on est à l'abri. Et si c'était pour se cacher, il aurait refermé la barrière.
J’ai donné une explication juste au dessus.
S’il ne ferme pas la barrière, c’est parce qu’il s’attend au retour imminent des Aubert.
Ben finalement, on s'aperçoit qu'il a fermé la barrière (pour moi l'homme au pull donc qui est effectivement un peu plus organisé que je ne le suppose, mais pas tellement puisqu'il se débarasse des objets n'importe comment) puisqu'il dit qu'après son réveil dans le tunnel il revient pour l'ouvrir.
L'explication n'est pas convaincante : à la première courbe vous êtes invisible, qui va vous chercher ? Personne.
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Gihel a écrit:
Ce qu'il raconte de son réveil est trop bien enchâiné pour être faux, même s'il évalue mal les distances.
Ce qu’il raconte aux gendarmes de Nice est plus crédible, parce qu’à ce moment là il n’est question que de délit de fuite suite à accident matériel.
Non justement, il cherche à cacher le fait qu'il ne comrend pas comment il s'est retrouvé dans ce putain de tunnel et donc il raconte des conneries, dont la plus énorme est que l'accident aurait eu lieu à 16h. Donc non, il ne faut pas retenir ce qu'il dit aux gendarmes, pas plus qu'il ne faut retenir une seule phrase de ce qu'il dit aux policiers dans la nuit.
Les deux sont un tissu d'âneries.