Citation :
Vous dites que c'est probablement entre 17h et 17h45 que C Ranucci a donné des indications précises.
C'est ce que je suppose. Il est seul avec Grivel (ou un autre). Je ne dirais pas "donné des indications", mais "laché une phrase banale (!) au détour de la conversation".
Citation :
Qui a pu demander ces précisions à part un policier présent au moment des aveux qu'il a pu trouver insuffisants ?
Pour ma part, premièrement, je trouve incroyable et insensé que les policiers n'aient pas réagi en demandant plus de détails au moment où C Ranucci évoque le couteau dont il se débarasse
Ce n'est pas "incroyable et insensé".
Personne n'a DEMANDE des précisions à CR, et je vous ai dit plusieurs fois pourquoi : les policiers ne connaissenr PAS les lieux. Ils ne savent PAS que "tas de tourbe" est une phrase insuffisante pour trouver le couteau.
Si je vous dis "un tas de fumier à l'entrée", vous n'allez pas me demander de faire un plan. Vous voyez ce que je veux dire ?
Citation :
Deuxièmement, si un policier obtient des précisions auprès de C Ranucci, pourquoi n'en parle t-il pas à son supérieur ? c'est insensé qu'il garde cela pour lui. Il se devait d'en parler et cela aurait fait l'objet d'un beau PV avec un p'tit autographe de C Ranucci.
-1- De grâce jpasc, ne me parlez plus jamais de PV, ça fait 5 fois que je vous réponds...
-2- Nous sommes pile au coeur du "couac", que je tente, un peu dans le brouillard, d'expliquer.
Ce n'est PAS insensé si il ne sait PAS que c'est utile (nous, nous le savons, bien sûr...).
J'ai imaginé, PAR EXEMPLE, que CR et P.Grivel parlant amicalement entre 17h15 et 17h45, seuls, en fumant un clope, etc. Grivel aurait entendu (parmi des dizaines d'autres phrases) "le mur de parpaings" sans trop y faire attention.
Il ne sait PAS que cette information est importante. Il ne sait PAS que les recherches commencent là-bas.
Il a remis CR à un gendarme, au Palais, il rentre chez lui ou va prendre l'apéro, revient peut-être à l'Evéché vers 19h, je n'en sais absolument rien.
Les gendarmes piétinent pendant une bonne heure.
Au n-ème coup de fil des gendarmes, Alessandra entend une phrase comme "vous êtes marrants, vous, c'est que c'est vachement grand, ce truc".
Stupeur, ce n'est pas un "tas".
Le tuyau de P.Grivel va refaire surface d'une manière ou d'une autre, par exemple s'il apprend que les gendarmes piétinent et que "mur de parpaings" lui revient brusquement à l'esprit. Ouf !
Ce scenario ne me parait pas absurde, et pour vous lancer une pique amicale, moins que certains autres...
Note : En fait, il y a peu de chances de connaitre la vérité, car il y a une faute grave quelque part, et personne n'a envie d'en parler.
Citation :
et bien, nous verrons cela de près, de très près.
Je compte sur vous.