Citation :
Je suis d'accord si le véhicule heurté est à l'arrêt. Mais en mouvement, la force de l'impact est diminuée par la force centrifuge. Les dégâts sont donc bien moins important dans cette configuration.
Les dégâts sont occasionnés par la dissipation d’énergie de la résultante des forces en présence
au moment du choc. Ce qui se passe, au moment de la rotation de la 304 sur elle-même n’a aucune incidence sur les dégâts.
Au moment du choc, il faut voir si les conditions de la manifestation d’une certaine force centrifuge sont réunies. Ces conditions, on les trouvent dans l’expression de la force centrifuge (au hasard d’après wiki) :
Citation :
L'expression de la force centrifuge à rajouter est : F = m.v2 / R où
m est la masse de l'objet étudié ;
v est la vitesse du référentiel tournant ;
R est le rayon de courbure de la trajectoire du référentiel
Si on ramène cela à notre cas, il faut que la 304 soit en mouvement. Le terme "vitesse" ne doit pas être nul. C’est le cas, mais vu la configuration des lieux, la vitesse est réduite.
Il faut aussi que la 304 soit dans une trajectoire circulaire. C’est le cas aussi, mais toujours par rapport à la configuration des lieux, le rayon de courbure de cette trajectoire est particulièrement important. Le terme R (diviseur) est très grand.
En conclusion, si au moment du choc, une force centrifuge est bien présente, elle est quasi insignifiante par rapport à celle « apportée » par le déplacement de la R16 de Martinez.
Tu as raison Jayce,
Citation :
C'est de la physique pure et simple.
Pour la petite histoire, au moment où la 304 tourne sur elle-même, il y a aussi manifestation d’une force centrifuge. Et là, pour comprendre ce qui se passe, il faut regarder comment fonctionne un « régulateur de Watt (c’est l’inventeur) ».