Citation :
Non, entre la Doria et la route, on traverse, à certains moments on se griffe, mais c'est faisable tout à fait. Les argeras ne sont pas en champ, il y a quelques buissons par ci par là. Mais même depuis la route, on monte facilement le talus, c'est très loin d'être un champ de barbelés.
D'ailleurs madame Di Marino s'y risque en tailleur...
Ceci dit en traversant de la Doria jusqu'à la route, j'ai senti bien évidemment que ça griffait, même avec un pantalon.
il me semble avoir lu quelque part que les gendarmes avaient "ouvert la voie" avant que Mle Di Marino ne s'engage par là !!!!!!
Ok ! lorsque vous dites que de la Doria jusqu'à la route, c'est faisable, même si c'est un peu difficile
Mais il semble que les argeras se trouvent plus particulièrement du côté où on a retrouvé le corps, c'est-à-dire, du côté du talus par où C Ranucci est sensé avoir été vu en train d'entraîner l'enfant.
Et dans ce cas, ce n'est pas possible ! La petite n'aurait jamais pu suivre son ravisseur sans hurler, sans se déchirer complètement les jambes, sans réduire en loques ses vêtements bien trop fins pour supporter un tel traitement.
Ce ne peut être C Ranucci qui l'a entraînée là dedans au nez des Aubert, et Mme Aubert ne peut pas en ce cas l'avoir entendu dire "qu'est ce qu'on fait "d'une petite voix fluette"
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Si les argeras sont comme les compagnons de G Bouladou l'ont raconté,
* alors les Aubert mentent.
* ce n'est pas C Ranucci qu'ils ont vu s'enfuir dans cette végétation car son pantalon aurait souffert de déchirures et d'épines enfoncées dans le tissu
* ce n'est pas l'enfant qu'ils ont vue car elle aurait hurlé au lieu de s'exprimer doucement
* et dans ce cas, on peut encore et toujours se demander ce qu'ils ont effectivement vu !!