« Jean Pascal » a écrit:Pour le ravisseur, il semble évident qu'il a sûrement évité de croiser M Rosano qui a son camion proche des garages du haut selon moi.
Donc, il me semble que les enfants jouaient plutôt devant les garages du bas, ce qui a permis au ravisseur d'aborder facilement les enfants sans être vu et ensuite d'envoyer le petit Jean faire le tour de la cité.
Arlaten :
"Le problème, c'est que personne n'a vu les enfants jouer à cet endroit, alors que dans le créneau horaire, ils ont été vus dans les escaliers ou sur le square.
De plus, je ne crois pas que l'on puisse dire que l'espace devant ces garages soit considéré comme étant "dans la résidence". or c'est ce qu'a déclaré Pierre Rambla dans sa déposition."
Il est vrai qu'il y a le témoignage de M Pierre Blanc dans le Méridional du 5 juin qui dit qu'il est parti de la cité vers 11h et quart, 11 h et demie.
"Je suis descendu par la route intérieure. J'ai ralenti au virage. J'ai même salué M Rosano. Les gosses jouaient en bas des escaliers."
Photo du Méridional du 4 juin 74 ci dessous.
D'après le commentaire, il n'est pas fait allusion aux trois garages.
De plus, d'après le journaliste Yves Gaveriaux, le petit Jean a dit qu'il jouait en bas sur le trottoir de la rue Albe.
Mais il n'a jamais parlé des trois garages.
Les enfants jouaient donc entre les garages du haut et du bas quand ils ont été abordés ? Dans ce cas, le petit Jean ne pouvait pas voir la voiture garée là où M Spinelli l'a déclaré.
De plus, pour aller vers les enfants, le type a donc du forcément passer tout près de M Rosano qui n'aurait rien vu ?