Citation :
Je reconnais que cette information m'avait échappé. Tu fais donc bien de la signaler.
Tu devrais surtout reconnaître qu’en écrivant :
Citation :
C'est bien affirmatif tout ce que tu dis. Et pourtant, tu n'as absolument rien pour être aussi catégorique.
Tu t’étais trompé et à minima t’en excuser. En pareille situation, c’est ce que j’aurais fait.
Citation :
Citation :
Citation :
C'est la raison pour laquelle je ne crois pas à cette hypothèse.
Tu crois ce que tu veux, mais il te faudra chercher une autre raison pour ne pas y croire.
J'ai déjà dit pourquoi je n'y croyais pas. Tout simplement parce que l'intéressé lui-même, le mieux placé pour en parler, n'en fait absolument pas mention dans son Récapitulatif et donc on peut penser logiquement qu'il n'en a pas parlé à ses avocats.
Non, hier, le raison pour laquelle tu ne croyais pas à cette hypothèse, c’est parce que tu pensais, que je n’avais
absolument rien pour être aussi catégorique, sur les faits suivants :
Citation :
"la carabine était cachée"
"elle était derrière les sièges avant."
"Il voulait la garder à portée de main"
Là, tu me ressort un argument qui a déjà été discuté.
Quelques posts plus haut, tu as écrit
Citation :
Il reste une interrogation de taille.
Si C Ranucci [...] est sorti de son véhicule pour jeter un oeil sur sa roue, et quand il voit les Aubert arriver, décide de prendre sa carabine [...] pourquoi n'en a t-il jamais parlé à ses avocats, ni même dans son Récapitulatif ?
J’aurais pu te faire remarquer, comme tu l’as fait, que tu n’y étais pas et que tu ne peux donc savoir s’il en a parlé ou pas à ses avocats.
Au lieu de cela, j’ai écrit :
Citation :
Que ce ne soit pas dans le récapitulatif, nous en sommes sûr. Qu'il n'en est pas parlé à ses avocats, là, nous le sommes un peu moins.
Mais, c'est quelque chose que l'on peut penser fortement.
A partir du moment où, cette carabine enveloppée était une réponse "béton" au paquet assez volumineux des Aubert, qu'il l'ai fait ou pas, ils (lui et ses avocats) auraient pu utiliser cet argument pour expliquer le paquet.
Ils ne l'ont pas fait. On est bien obligé de croire qu'ils n'y ont pas pensé.
J'ai donc "argumenté", pour montrer que l'on pouvait penser fortement qu'il n'en avait pas parlé à ses avocats.
En me le rappelant, comme dirait certain, tu « enfonces des portes ouvertes ».
Maintenant est-ce que cet argument est recevable ? A mon avis non.
Ce n’est pas parce que Ranucci n’en a pas parlé à ses avocats et que cela ne figure pas dans son récapitulatif que la chose n’a pas existée.
Ranucci n’a jamais parlé de Moussy et pourtant, il a bien joué un rôle dans cet histoire.
De plus, je ne crois pas, que Ranucci n’ai parlé davantage de son évanouissement à ses avocats, parce qu’à ma connaissance, au procès, ni lui, ni eux n’en ont parlé. Pourtant, il a parlé de « l’autre » de l’assassin, mais il a seulement dit : « Cela s'est passé comme je vous le dis. L'assassin de la gamine, nos routes se sont croisées, c'est tout !». Effectivement, c’est tout.
Cette histoire d’assassin qui monte dans sa voiture et qui le fait basculer sur le siége arrière, c’est sa mère qui le lui a suggéré, avant même qu’il écrive le récapitulatif.
Citation :
Il y a quelques mois, j'avais parlé de cet évanouissement et tu m'avais demandé où j'avais eu cette information à laquelle tu ne croyais pas.
Je t'avais alors répondu que C Ranucci avait évoqué cet évanouissement dans son récapitulatif. Mais je ne me souviens pas que tu m'aies répondu que j'avais bien fait de signaler cette information.
Je doute que cela se soit passé comme tu le dis. Il est possible que je t’ai demandé d’où tu tenais cette information, en pensant que tu pouvais avoir une autre « source » que le récapitulatif. Si, en réponse, tu m’as parlé du récapitulatif, alors, là, à coup sûr, je t’ai dit que je n’y croyais pas.
Citation :
Probablement parce que tu n'y croyais déjà pas.
Là, je suis formel. Dès que j’en ai eu connaissance, je n’y ai pas cru.