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A propos des photos sur le livre de M.Bouladou : les gros boutons du POR, ils ne sautent pas aux yeux...
Soryu :
Si on veut.
Ils ne sont pas invisibles : ça vous va comme ça ?
Portés sur l'épaule, ils peuvent devenir discrets...
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A la page suivante, le pantalon "il porte des tâches du sang de la victime" Comment le sait il ?
Indéfendable présenté comme ça (il y a d'autres exemples analogues).
Attention, Soryu, vous revendiquez l'honnêteté : oui ou non, avec son commentaire, G.Bouladou laisse t il à penser à ceux qui découvrent l'affaire, que le sang du pantalon a été identifié formellement comme étant celui de la victime ? si la réponse est oui, vous dites qu'il se trompe ou bien autre chose ?
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En face les housses rouges de la 304 : "la couleur des housses montre que Ranucci ne détestait pas le rouge "... On choisit ses options sur une voiture d'occasion ??? Qui a dit que Ranucci aimait ses sièges ??? Il détestait sans doûte aussi les feux... rouges et les panneaux Stop ?
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Soryu : Détail sans intérêt, je suis d'accord.
N'esquivez pas, svp... Ce détail prend de l'intérêt lorsqu'un ancien policier prétendant dire
toute la vérité (1 de couverture) s'en sert comme argument pour dire que Ranucci et sa mère mentent.
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A chaque page sa surprise et sa formule à 10 sous... J'exagère ??
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Un peu quand même ; Gérard Bouladou n'a pas le talent littéraire de Gilles Perrault. Ce n'est pas l'essentiel.
Celui qui juge, disait P.Lombard, se fait l'égal de Dieu...
Je crois qu'entre Gilles Perrault et Gérard Bouladou il n'y a pas que la différence de talent rédactionnel.
"Le POR" créait le doûte; "l'autopsie d'une imposture" accuse. Le problème c'est que Gérard Bouladou prétend corriger et fustiger les erreurs de son prédécesseur et qu'il en commet sa dose avec quelques coups bas...