Citation :
Je crois bien avoir dit que ce qui fait déclencher un important dispositif de gendarmes, c'est, selon moi, le témoignage des époux Aubert (qui parlent d'un homme s'enfuyant dans la colline avec un enfant) qui permet de faire le lien avec le rapt de la gamine.
Yann, à quoi tu joues ?
Je te rappelle mon message du 18 octobre :
Citation :
Citation :
Mais il y a le témoignage des époux Aubert. Même si je suis convaincu qu'ils n'ont pas pu reconnaître formellement CR (d'où l'absence de PV de police dans le dossier), je me dis que pour qu'on fasse déployer sur place un dispositif de 150 gendarmes pour ratisser la zone, c'est qu'il y a bien le témoignage de quelqu'un qui a vu un homme partir dans la colline avec un enfant.
Si les époux Aubert ne parlent jamais d'enfant, impossible de faire un lien entre ce qu'ils ont vu, et l'enlèvement de la gamine.
Yann, je ne voudrais pas être désagréable, mais on a déjà donné sur le sujet. Tu jettes "aux orties" tout ce qui a été dit sans apporter le moindre argument............
A ce message, tu as répondu en « emmenant » la discussion sur un tout autre sujet.
Là, tu reviens avec la même « ânerie » (excuse moi), ce qui montre que tu n’as rien vérifié des argumentations qui allaient à l’encontre de ce que tu affirmais.
Certes, tu l’as dit et tu le répètes, mais tu n’indiques pas, quels sont, le ou les éléments, qui te permettent d’affirmer ce que tu dis.
Citation :
Je ne peux pas croire que j'aurais pu confondre une carabine à air comprimé enveloppée dans un vêtement (même de la même couleur que les vêtements du fils de Philippe) avec un enfant.
Je suis bien d’accord avec toi. Ce n’est pas possible de confondre et les Aubert n’ont pas confondu. Ils n’ont parlé d’un enfant, au plus tôt, qu’après qu’ils aient eu connaissance de la découverte du corps, soit dans la soirée du 5 juin.
Citation :
Pourquoi CR serait parti dans la colline avec une arme s'il ne se sentait pas menacé (puisqu'il n'aurait pas vu les époux Aubert) ? Mais c'est à toi de répondre à cette question, c'est toi, le tenant de l'hypothèse de la carabine à air comprimé.
Visiblement tu n’as pas compris. Quand j’écris :
Citation :
Après, il fallait faire le lien entre le paquet et la carabine. Ses avocats ne l’ont apparemment pas fait. Lui, il l’a peut-être fait, mais il a toujours soutenu qu’il n’avait pas vu les Aubert. Alors pourquoi partir avec une arme s’il n’y a pas de menace.
Je n’ai pas dit qu’il n’avait pas vu les Aubert. Il est évident que s’il a pris la fuite dans la colline, c’est parce que les Aubert sont arrivés et qu'il les a vu. Non, j’ai dit que comme il avait dit qu’il n’avait pas vu les Aubert, il ne pouvait pas évoquer la carabine comme instrument de défense, alors que personne ne le menaçait.
Citation :
Et je repose la question, peut-être un peu différemment : en admettant que CR soit effectivement parti dans la colline avec sa carabine enveloppée dans un peignoir blanc, qu'est-ce qui l'empêche, tôt ou tard, de le dire à ses avocats ? Je ne vois vraiment pas. Il n'a jamais rien dit de la sorte, même dans ses écrits.
J’ai beau relire et pour moi, c’est exactement la même question.
Citation :
Si je vois CR s'enfuir dans la colline avec un paquet, un objet volumineux, je parle d'un paquet, ou d'un objet. Si je vois un enfant, je parle d'un enfant. En voyant CR, ils sont au moins sûr d'avoir vu un homme. Pourquoi n'auraient-ils pas pu être sûr d'avoir vu un enfant qui mesure 1m21 ?
C’est une question que tu ne peux même pas poser aux Aubert maintenant.
Citation :
La "mise en scène" policière, j'y avais pensé, et j'en avais parlé lors de notre conversation. Mais à partir de là, le scénario d'un complot me paraît incontournable : la police aurait très bien su qui était le coupable. CR aurait eu le malheur de croiser sa route, et la police l'aurait fait accuser à sa place.
Le mot complot n’est pas dans mon hypothése. Mais explique moi (nous), pourquoi cela te paraît incontournable.
Citation :
Autre hyptothèse : la police aurait monté cette "mise en scène" pour "fabriquer" une preuve ?
C’est plutôt à cela que je pense. La police ou tout au moins UN policier.
Citation :
Penses-tu carrément que la police a pu trouver le couteau sans tâche de sang, et qu'elle a pu le tâcher elle-même, avec le sang de la victime ?
Je dis que pour un policier (mal intentionné), c’était possible de le faire.
Lors de la deuxième comparution, Melle la Juge n’aurait pas demandé à Ranucci s’il avait essuyé le couteau, si celui-ci avait été taché de sang.
Citation :
Mais dans ce cas, CR n'aurait-il pas aussi fini par dire à ces avocats : "ils m'ont fait avouer que je me suis débarrassé du couteau dans un tas de tourbe, et que sur mes indications, ils l'ont retrouvé, tâché de sang. Mais c'est faux. Le couteau, je l'ai mis dans mon coffre (ou ma boîte à gants) avant de repartir à Nice, et il n'était pas tâché de sang" ?
S’il avait été sûr de cela, autrement dit, s’il avait vu le couteau dans sa voiture, avant de se faire arrêter, effectivement il aurait pu dire cela.
Mais cela n’a vraisemblablement pas été le cas, puisqu’il croira que c’est son couteau qui a servi à tuer la petite fille.