Citation :
[...]
Heu, moi non plus, de mémoire...
Il n'a effectivement pas dit qu'il s'était garé après un virage, excusez-moi.
Il a dit ceci les 5 juin et 6 juin (dans la nuit) :
Le 5 juin 1974
Citation :
Après avoir roulé environ un kilomètre, ayant un pneu qui touchait la carrosserie, je me suis arrêté sur le bord de la route pour réparer. A cet endroit, un chemin se trouvait sur ma droite, fermé par une barrière (tube en fer de couleur blanche et rouge). Je suis descendu de voiture pour ouvrir cette barrière et, après être remonté en voiture, j’ai dirigé celle-ci dans le chemin.
Le 6 juin 1974 (1h30)
Citation :
Après le choc, j’ai parcouru un kilomètre environ puis, je me suis arrêté. En effet, ma roue arrière gauche sentait le brûlé, car la tôle enfoncée au cours du choc frottait sur le pneumatique. Après avoir immobilisé ma voiture, j’ai soulevé une barrière qui fermait un chemin, puis j’ai repris le volant et j’ai conduit ma voiture sur trois cents mètres dans le chemin se trouvant derrière la barrière
C'est la barrière et le chemin correspondant qui sont après le virage en épingle à cheveu ; j'avais extrapolé, certes, mais l'endroit se situe bien après ce fameux virage
C Ranucci a déclaré s'être arrêté au niveau de cette barrière qui, il faut bien l'admettre, se situe après le virage en épingle à cheveu.
Donc pour revenir à mon texte plus haut, les Aubert n'étant pas allés jusque là, n'ont pas pu voir la voiture de C Ranucci ; cependant ils ont bien vu une autre voiture grise, une voiture 4 portes ...
Et on peut reprendre mon texte en corrigeant comme ci-dessus la déclaration de C Ranucci qui en fait ne change rien quant à l'endroit qu'il désigne comme s'y étant arrêté.