Citation :
Pour évité tous ce petit monde, il a bien fallu, au chauffeur du camion qu'il ce déporte sur la gauche, étend donné que la R16 été stoppé sur la voie de droite; il et donc a peut prés certain que M aubert Alain n'était certainement pas en train de doublé le dit camion dans l'approche des 50 dernier m avant le carrefour car il y a de forte chance que le camion commençait a amorçait son déportement sur la gauche .
Je ne sais pas trop ce qu’a fait le camion. Martinez, dit trente ans :
« Je pile avec la R16. Je m'envoie sur le milieu. ». Donc, si la R16 était immobilisée au milieu de la route, il est possible que le camion soit passé sur la droite, mais tout cela, au ralenti bien entendu. Tout ceci, bien sûr, à condition que le camion soit bien parti sur la N96 et non pas sur la N8bis.
Et cela, personne ne l'a précisé.
Citation :
Aujourd' huit je sais qu'il et interdit de doublé a l'approche du dit carrefour, mais peut êtres quand 1974 c'était possible.
Je viens de vérifier et je peux te confirmer qu’en 1974, il n’était pas interdit de doubler. Au moment des faits, la ligne continue commençait exactement au centre du croisement et elle protégeait le virage qui suit.
Prenant en compte cet élément, je reconnais qu’il n’est donc pas impossible, qu’ Aubert aie pu tenter un dépassement du camion, au même instant que le choc.
Mon raisonnement, par la « cinématique », s’appuyait sur le traçage au sol d’aujourd’hui. Il est donc caduque.