Après une petite absence, je vois que le Grand Expert Bouladou, qui restait encore correct et plutôt mesuré, dévoile son vrai visage (exactement le même chemin que sur le forum précédent, celui de l'association, où après une période relativement pondérée, il s'était mis à déverser son intolérance et son mépris sur tout ce qui n'était pas d'accord avec lui, avant de péter les plombs (de rage) et de disparaître). Sacré Bouladou, qui conseille aux convaincus de la culpabilité de ne pas venir sur ce forum discuter avec ces faibles d'esprits qui n'y connaissent rien, mais qui lui est toujours là, encore et encore, rageant, pestant, serrant les poings face au peuple inculte. Sacré Bouladou, qui se balance du "spécialiste" à tire-larigot (il me fait penser à, disons, Jean-Pierre Renard, qui a participé une fois au Tour de France, en 1973, qui a finit 126ème, et qui aujourd'hui, dans les mariages et les repas de famille, explique comment gagner à l'Alpe d'Huez, ou la sensation que procure le maillot jaune quand on l'a sur les épaules) et qui pourtant se traîne lui-même dans la boue en étant l'un des seuls ici à pratiquer dans chaque phrase ou presque l'insulte ras-des-paquerettes (faible d'esprit, lavé du cerveau, cochon, "ineptie" ou "ânerie" trois fois par ligne), comme s'il n'avait pas d'autre arme (cherchez bien, Gérard, vous ne trouverez pas beaucoup, même dans les rangs des plus farouches innocentistes, de personnages hargneux et injurieux de votre calibre, de votre niveau).
Bref.
Je voulais juste dire, puisque votre cible préférée est incontestablement Gihel, qu'il y a à mon sens une chose qui vous rapproche, et une qui vous différencie. (Je tiens à préciser que je trouve les interventions de Gihel souvent très exagérées, unilatérales, etc...) Celle qui vous différencie, c'est que vous pouvez chercher, jamais Gihel n'est descendu aussi bas que vous dans l'injure. Et même qu'il n'a jamais insulté personne, jamais, bien qu'il en ait pourtant pris plein la tronche. Il a toujours su garder un calme et une correction qui l'honorent. Celle qui vous rapproche, c'est l'aveuglement (parfois), l'affirmation péremptoire de choses complètement farfelues (ce que vous appelez des "inepties"). Un exemple parmi une bonne quinzaine : un peu plus haut, vous expliquez, très sûr de vous, tranquille, qu'on n'a su que le 6 que Marie-Dolorès avait reçu des coups de couteau. Quatorze coups de couteau. Vous affirmez, en spécialiste, qu'il a fallu 24 heures pour s'en rendre compte. ("Oh, mais regardez !", dit un génie le lendmain, "elle a des plaies partout !") Et vous voudriez qu'on lise votre livre ? Vous voudriez qu'on lise, sinon avec confiance, du moins avec une certaine ouverture d'esprit, le livre de quelqu'un qui essaie de faire gober un mensonge pareil ? Sérieusement ?
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