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Message non luPosté :01 avr. 2009, 00:06 
jpasc95 a écrit:
Serait il tenu à un devoir de réserve vis à vis des policiers ?

henri :
Si l'on s'en tient aux affirmations (que je trouve pour ma part invérifiables, invérifiées et donc nulles et non avenues) de Porte et Vuillet, la reponse est non puisqu'il prétendent que Vuillet aurait parlé de couteau pendant les aveux de Ranucci et avant que l'autopsie ne soit clôturée.

Je parlais du jour de la découverte du corps, le 5 juin.
On voit sur des images d'archives que les policiers sont présents (entre autres Grivel) sur le Lieu du crime..
M Vuillet, avant de présenter le corps au père, va le nettoyer.
C'est à ce moment là qu'il a forcément du voir les blessures (en particulier le cou) et penser à une arme blanche.
Si les policiers lui ont demandé comment la petite avait été tuée, je ne vois pas ce qui l'aurait empêché de donner son avis en parlant d'arme blanche, à part peut-être un devoir de réserve vis à vis des policiers.
Dans les séries policières, on voit souvent des médecins légistes débarquer sur les scènes de crime et être souvent interrogés sur la façon dont la victime a été tuée. Jamais je n'ai vu une seule fois un médecin refusant de répondre à cause de ce devoir de réserve. Mais bon, c'est la télé.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 10:12 
Citation :
Citation :
Citation :
Je ne comprends pas que refusiez de comprendre

Expression très significative qui ne me surprend pas et qui devrait intéresser nos psys amateurs.
toujours cette sale manie de sortir les phrases de leur contexte.
pas très honnête tout ça !
D'abord, il serait bien d'éviter d'écrire les réponses en caractéres gras.Si c'est pour faire croire que l'ensemble des réponses, a un caractére important, ça ne marche pas.

Je n’ai pas sorti « des phrases de leur contexte », je n’ai pris qu’une expression, dans une phrase.
La partie de phrase occultée ne change rien quant à la compréhension de l’expression que j’ai voulu mettre en avant.
Donc de mon côté, rien de malhonnête. On ne peut pas en dire autant pour l’autre côté.
Citation :
A propos de psys, ça vous ferait pas de mal de consulter. Comment gérer une extrême infatuation de soi même ?
vous savez du genre : "Je sais que j'ai raison mais je ne comprends pas pourquoi les autres refusent de l'admettre..."
Je crois…..je suis sûr même, que ce conseil, il faut le donner à ceux qui écrivent :  « Je ne comprends pas que refusiez de comprendre », qui signifie la même chose que : « Je sais que j'ai raison mais je ne comprends pas pourquoi les autres refusent de l'admettre... ». Je ne l’ai pas écrit.

Citation :
Citation :
Citation :
Mais non, rien de tout cela. Je ne peux pas croire qu'il ait oublié cette prétendue fuite durant laquelle il aurait été vu et formellement reconnu le 6 juin par les Aubert.
«formellement reconnu le 6 juin » quelle erreur.
Alain Aubert n'a pas reconnu l'homme qui s'est enfui dans la colline. Il a reconnu celui qui a eu l'accident.
Dans la déposition signée par Aline Aubert, il n’est pas dit que cette dame a reconnu en Ranucci, l’homme qui s’est enfui dans la colline.

Rien ne dit que Ranucci a oublié cette fuite dans la colline.
Reconnaître cette fuite, c'était aller dans le sens des dires des Aubert, qui prétendaient avoir vu un individu s’enfuir dans la colline avec un enfant.
On peut comprendre pourquoi il a préféré l'occulter.
Comment ça "quelle erreur" ?
j'ai utilisé" un conditionnel mais il vous a échappé. Relisez mieux la phrase.
Mais c’est bien, ce que j’ai fait. J’ai relu plusieurs fois cette phrase :
Citation :
« Je ne peux pas croire qu'il ait oublié cette prétendue fuite durant laquelle il aurait été vu et formellement reconnu le 6 juin par les Aubert. »
Le conditionnel et les structures conditionnelles servent entre autre à formuler une hypothèse, présenter une information non confirmée. Est-ce le cas içi? Pas sûr.
Le conditionnel semble bien s'appliquer à ce qui c'est passé le 3 juin (rapport à la fuite) mais pas à ce qui c'est passé le 6 juin (Les Aubert n'ont jamais reconnu en Ranucci l'individu qui a pris la fuite).

La phrase, plus je la relie et plus je me demande ce qu'elle peut signifier.
A première vue, l'auteur ne croit pas « qu'il ait oublié cette prétendue fuite » parce que durant celle-ci, « il aurait été vu et formellement reconnu le 6 juin par les Aubert ».
Pour ne pas croire, il faut que la condition soit remplie.
Est-il permis de ne pas croire, si l'on sait très bien que la condition n'est pas remplie?
Est-il permis de ne pas croire, si on soutien que les Aubert n'ont pas vu Ranucci et si lon est convaincu que le 6 juin, il ne l'ont pas reconnu comme étant......................
Citation :
Il est évident que les Aubert n'ont pas reconnu en C Ranucci l'homme qui s'est enfui dans la colline.
C'est bien pour cela que je pense qu'il y a la place pour qu'ils aient vu un autre homme que lui.
Il n'y a pas besoin d'inventer (parce que ce n'est que le fruit de l'imagination) le passage d'un autre homme pour expliquer le fait que les Aubert n'ont pas pu reconnaître en Ranucci l'individu en fuite.
Quand on explique par la furtivité de la scène le fait que les Aubert ne se sont pas rendu compte qu'il s'agissait d'un autre homme, on doit pouvoir comprendre que pour la même raison (la furtivité), ils ne l'aient pas reconnu.
Citation :
Vous, vous n'y croyez pas, vous êtes certain que c'est bien C Ranucci qu'ils ont vu s'enfuir.
Encore une fois, si C Ranucci s'était enfui, surtout si c'est bien plus loin que le Lieu du crime, alors il en aurait parlé à ses avocats et Le forsonney l'aurait écrit dans son livre.
J'ai avancé des explications. Elles n'ont pas été contredites. Je ne vais pas les répéter....... encore une fois.

Citation :
Mais rien de tout cela et vous affirmez pourtant qu'il y a suffisamment d'éléments pour en être convaincu. Bin non, moi je ne suis pas convaincu du tout.
Et non, ce n'est pas là que j'ai écrit qu'il y a suffisamment d'éléments

C'est là:
Citation :
Citation :
Maintenant, si le témoignage des Aubert vous suffit, alors.....
Étonnant de la part de quelqu'un qui dans son hypothèse, retient que les Aubert ont bien vu………..une fillette (chose qu’ils n’ont pas dite), alors qu’il y a suffisamment d’éléments qui attestent du contraire.
Cela ne concerne que........ce qu'on vu les Aubert, un paquet ou un enfant.

Citation :
Citation :
Citation :
Maintenant, si le témoignage des Aubert vous suffit, alors.....
Étonnant de la part de quelqu'un qui dans son hypothèse, retient que les Aubert ont bien vu………..une fillette (chose qu’ils n’ont pas dite), alors qu’il y a suffisamment d’éléments qui attestent du contraire.
Je n'ai jamais écrit que les Aubert avaient dit qu'ils avaient assurément vu une fillette mais qu'ils avaient parlé d'enfant (déclaration à l'Evêché).
Mais entre le version paquet et la version enfant des Aubert, c'est là que je dis qu'il y a suffisamment d'éléments pour faire le bon choix.
Citation :
Ensuite, j'en déduis qu'effectivement il s'agit, selon moi, de Marie-Dolorès Rambla, donc d'une fillette.
Et voilà. Une déduction. Les Aubert ont déduit aussi. Après avoir appris que le corps de Marie Dolores avait été retrouvé, leur paquet assez volumineux est devenu un enfant, parce que Marie Dolores était un enfant.
Citation :
Il y a suffisamment d'éléments qui attestent du contraire ?
ça c'est votre interprétation de l'affaire, pas la mienne.
Pourquoi déformer mes propos.........................
Citation :
quels éléments ?
le paquet assez volumineux ?
C Ranucci ne dit rien du tout à ce sujet.
Il n'a semble-t-il, jamais parlé de le fuite dans la colline, alors pouvait-il parler du paquet avec lequel il aurait pris la fuite ? Je pense que non.
Citation :
Vous préférez conclure qu'il ment en parlant d'évanouissement. Libre à vous. Moi je pense qu'il dit vrai.
Et non, et je l'ai expliqué.
viewtopic.php?p=94631&highlight=r%E9capitulatif#94631

Il ne faut pas s'inventer un évanouissement qui corresponde juste à ce qu'il faut pour faire tenir une hypothèse et dire que Ranucci en parle dans son Récapitulatif. C'est faux.
Citation :
Je répète qu'il n'y a rien de convaincant, contrairement à ce que vous dites, qui doit forcément nous amener à conclure que C Ranucci s'est assurément enfui quelque part, où vous voulez, avec un sac, une carabine, tout ce que vous voulez.
Pour ne pas être convaincu, il faut « tordre » les éléments qui amènent la conviction de certain. Il faut aussi, carrément inventer des éléments qui ne reposent sur aucune information connue à l'époque des faits.
Citation :
Si vous croyez M Aubert quand il le déclare à la gendarmerie, alors là aussi libre à vous. Moi je n'y crois pas. J'ai donné une explication, pas de problème si vous la rejetez.
Je me souviens d'une explication « inventée » à propos du « paquet assez volumineux » et conforme à celle de.......Gérard Bouladou, mais je ne me souviens pas d'une explication sur la fuite dans la colline, racontée par Alain Aubert aux gendarmes.
Il faut me montrer.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 10:24 
Citation :
Au départ, c'est Gérard Bouladou qui nous donne l'information.
Hum ...
Je me demande bien d'où il pourrait la tenir alors qu'elle ne serait jamais sortie auparavant, ni au procès, ni avec la sortie du livre de Fratacci
Cela n'empêche pas et l'information, il dit la tenir du DR Vuillet lui-même.
Citation :
Les policiers ne savaient pas. Nous nous apercevons que les journalistes n'en parlent pas. Ils ne savaient pas non plus.
Les inspecteurs peut-être, mais pas les "boss".
Qui appelles-tu les « boss »?
Alessandra?
Le 5 juin dans l'après-midi, personne n'a vu Alessandra du côté des bois de Peypin.
Citation :
Les journalistes sans doute, surtout s'il s'agit de préserver l'info pour les besoins de l'enquête.
Avec ce que l'on trouve dans les journaux du 6 juin, je ne pense pas que les policiers aient fait de la rétention d'infos, « pour les besoins de l'enquête ».
Citation :
Mais Di Marino non plus ne savait pas. C'est du moins ce que nous pouvons déduire de la lecture de son PV. Et cela ne répond sûrement pas à une question de stratégie policière. La juge ne "communique" pas aux journalistes.
De quel PV parles-tu ?
Celui du 5 juin, quand elle se rend sur le lieu de découverte du corps.
Citation :
Ce n'est pas parce qu'elle ne commuique pas aux journalistes qu'elle n'est pas au courant.
Je ne disais pas cela, dans ce sens.
Quand je dis cela, je veux dire que quoiqu'elle écrive dans son PV, les journalistes n'en seront rien.
Citation :
Selon le rapport d'autopsie, les blessures causées par les pierres sont importantes et je crois assez facilement que c'est ce qui se voyait le plus.
Quoi ? Comment ?
Où as-tu été chercher que des blessures ont été causées par les pierres ?
A ma connaissance, ce n'est noté ni dans le rapport d'autopsie, ni dans le rapport d'analyse des scellés, alors qu'il est bien indiqué que l'enfant a été poignardé avec un objet perforant et tranchant de type couteau !
Quatre enfoncements de la boite crânienne, voyons Henri......................
Citation :
Citation :
Les pierres ensanglantées trouvées à proximité du corps ont pu tromper ce qui ont pu l'approcher (gendarmes, pompiers).
Reste le cas du Dr Vuillet. Sur le terrain, il a pu se rendre compte mais ne rien dire, parce qu'il n'était pas certain.
Et nous sommes de nouveau dans cette affaire devant l'hypothèse la moins crédible, même si elle n'est pas stritement impossible.
Donc que nous ne pouvons pas écarter.
Citation :
Mais ce qui est clairement beaucoup trop cinématographique c'est cette scène du coup de fil qui tombe à pic pendant les aveux ...
Pas impossible non plus. Mais la question pourrait être posée au DR Vuillet.
Citation :
Citation :
Reste aussi la possibilité qu'il n'ait pas vu les coups de couteau. Avec la mort du petit Valentin(je t'en ai parlé), l'été dernier, je crois vraiment la chose possible.
Le petit Valentin n'a reçu que des coups de couteau et personne, parmi les personnes qui ont pu l'approcher, ne les ont pris pour tel.
La petite Marie Dolores avait des blessures certainement plus visibles que les coups de couteau.

Je te rappelle que dans le cas du petit valentin, le procureur a demandé que confirmation soit donnée par un deuxiéme légiste, d'une juridiction différente. Ce n'est quand même pas rien, s'agissant de constater des blessures faites par arme blanche.
De mon côté je te rappelle que nous en avons déjà parlé et que je t'ai expliqué pourquoi le cas du petit Valentin est diamètralement opposé à celui de Marie-Dolorès.
Mais cela n'a rien à voir. Au moment où le corps est trouvé, il ne faut que constater.
Apparemment, il n'est pas évident de constater des blessures par arme blanche. Le double contrôle exigé par le procureur dans l'affaire du petit Valentin, le confirme.
Ce double contrôle a été fait (je me répète) par deux légistes différents, dans des conditions optimales en terme d'examen.
Dans le cas de Marie Dolores, sur le terrain, je ne crois pas invraisemblable, donc possible, que le Dr Vuillet n'ai pas vu.
Citation :
J'ai retrouvé cet ancien échange :
Henri, tu n'as peut être pas remarqué, mais dans ma réponse, je « traite » la stratégie policière et de la difficulté pour un médecin légiste d'apprécier avec certitude des coups portés par arme blanche.
Par cela, je répondais en fait, à cet « ancien échange ». Tu aurais pu t'en douter.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 10:35 
jpasc a écrit:
Ensuite, j'en déduis qu'effectivement il s'agit, selon moi, de Marie-Dolorès Rambla, donc d'une fillette.

arlaten :
Et voilà. Une déduction. Les Aubert ont déduit aussi. Après avoir appris que le corps de Marie Dolores avait été retrouvé, leur paquet assez volumineux est devenu un enfant, parce que Marie Dolores était un enfant.

Mais entre le version paquet et la version enfant des Aubert, c'est là que je dis qu'il y a suffisamment d'éléments pour faire le bon choix.



Je peux changer le mot déduction si ça peut vous faire plaisir et écrire interprétation ou hypothèse.

Pour la nième fois, j'ai bien compris que vous avez votre hypothèse et moi une autre différente de la votre.
Et la votre n'est pas plus étayée que la mienne car vous aussi vous interprétez, même si vous soutenez le contraire.
un exemple : vous dites, ce n'est pas parce que C Ranucci n'a pas écrit dans son Récapitulatif qu'il s'était enfui quelque part sur la rn8bis qu'il ne l'a pas fait !
vous croyez avoir démontré quoi avec ce genre d'affirmation ?

c'est pour cela qu'il faut que vous compreniez que l'on peut avoir un autre raisonnement que le votre dans cette affaire.
moi je parle d'hypothèse, vous vous parlez de certitude concernant votre hypothèse.
Il se trouve que je préfère mon hypothèse à la votre car je pense que les Aubert ont vu un type s'enfuir avec un enfant et que ce type n'était pas C Ranucci mais un autre.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 10:55 
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Citation :
Cela n'empêche pas et l'information, il dit la tenir du DR Vuillet lui-même.
Aucune valeur 30 ans plus tard alors que rien n'est sorti jusque-là.

_________________
Argumenter avec les imbéciles, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon.
D'abord, le pigeon va renverser les pièces et chier sur l'échiquier.
Puis, il se pavanera comme s'il avait gagné la partie.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:02 
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Citation :
Qui appelles-tu les « boss »?
Alessandra?
Le 5 juin dans l'après-midi, personne n'a vu Alessandra du côté des bois de Peypin.
Les personnalités principales en charge de l'enquête à qui Vuillet a pu donner ses premières constatations ou qui ont constaté par elles-mêmes.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:06 
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Citation :
Avec ce que l'on trouve dans les journaux du 6 juin, je ne pense pas que les policiers aient fait de la rétention d'infos, « pour les besoins de l'enquête ».

Tu n'es d'aucune façon en mesure d'affirmer quoi que ce soit sur ce que les enquêteurs ont bien voulu dire ou pas aux journalistes.
On ne fait pas une enquête à partir d'articles de presse dont nul ne connaît la provenance du contenu avec une fiabilité suffisante.
Il serait temps de t'en rendre compte car tu en tires bien souvent des conclusions hatives.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:10 
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Citation :
Celui du 5 juin, quand elle se rend sur le lieu de découverte du corps.
C'est normal, il s'agit d'une pièce officielle.
Le juge doit attendre confirmation de qui de droit.
Rien, absolument rien à voir, avec le "bouche à oreille" à proximité du cadavre ou avec des constatations de visu.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:26 
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Citation :
Quatre enfoncements de la boite crânienne, voyons Henri......................
Citation :
AU NIVEAU DE LA TETE :

Une large infiltration sanguine de la région fronto-­temporale gauche ;

Une contusion de la voûte crânienne dans la profondeur des plaies contuses précédemment décrites dans la région fronto-pariétale gauche. Outre une infiltration sanguine, on observe sur la table externe de l’os pariétal gauche, en arrière de la suture fronto- pariétale, quatre enfoncements localisés : à l’un de ces enfoncements correspond une fracture de la table interne de l’os (fig. 11 et 12, Planche V) :
Et une congestion de la périphérie des hémisphères
cérébraux.
Citation :
C O N C LU S I 0 N S

L’ensemble de nos constatations autopsiques et investigations effectuées sur le cadavre de la jeune Marie Dolorès RAMBLA permet de répondre ainsi aux questions énoncées dans l’ Ordonnance de notre mission, à savoir :

1/qu’il présente, outre une contusion de la voute cranienne avec quatre enfoncements localisés dont un avec fracture de la table interne de l’os
-Un ensemble de plaies contuses sur 1e côté gauche de la tête, s’étendant de l’angle externe de l’orbite gauche à la tempe gauche, lésions auxquelles peuvent être rattachées des lésions de contusion appuyée sur le côté opposé de la tête ;
-Des blessures par arme blanche perforante et tranchante du type couteau au nombre de 15 , localisées à la région mastoïdienne gauche et au cou, atteignant le plan vertébral et ayant notamment occasionné une lésion de 1’artère carotide primitive droite ;
-Et trois coupures du dos de la main droite.

2°) Que ces blessures , dont en particulier la coupure de la carotide primnitive droite sont la cause directe de la mort.
Non, pas 4 enfoncements de la boîte cranienne.

Aucune mention des pierres de toute façon.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:30 
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Citation :
Donc que nous ne pouvons pas écarter.
Citation :
Pas impossible non plus. Mais la question pourrait être posée au DR Vuillet.
Je ne parlais que du fait de ne rien dire.

Pour le reste, c'est non seulement invraisemblable, mais c'est également impossible que personne n'ait évoqué des coups de couteau.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:35 
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Citation :
Mais cela n'a rien à voir. Au moment où le corps est trouvé, il ne faut que constater.
Apparemment, il n'est pas évident de constater des blessures par arme blanche. Le double contrôle exigé par le procureur dans l'affaire du petit Valentin, le confirme.
Ce double contrôle a été fait (je me répète) par deux légistes différents, dans des conditions optimales en terme d'examen.
Dans le cas de Marie Dolores, sur le terrain, je ne crois pas invraisemblable, donc possible, que le Dr Vuillet n'ai pas vu.
Le contexte a tout à voir au contraire.
Autant il est tout à fait compréhensible que le légiste n'ait pas pensé tout de suite à des coups de couteau dans le cas du petit Valentin, autant c'est impossible dans le cas de Marie-Dolorès.

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:39 
les 4 enfoncements décrits par Vuillet concernent bien le crâne puisqu'ils touchent les os pariétaux.

Le jour de la découverte du corps, il me semble que les 15 coups de couteau sont surement aussi voire plus visibles que ces enfoncements de la boite cranienne cachés par les cheveux de la petite.


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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:42 
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Désolé, autant pour moi, je pensais "fracture" en lisant "enfoncement".

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Message non luPosté :01 avr. 2009, 11:44 
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Citation :
Le jour de la découverte du corps, il me semble que les 15 coups de couteau sont surement aussi voire plus visibles que ces enfoncements de la boite cranienne cachés par les cheveux de la petite.
Tout à fait d'accord, surtout avec la quantité de sang qui a du sortir de la carotide tranchée.

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 Sujet du message : Re: couteau
Message non luPosté :01 avr. 2009, 13:42 
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Citation :
Je maintiens. Ces couteaux, et je répète qu'il s'en trouve un chez moi, coupent très mal.
Un couteau de n'importe quel type ne coupe mal que s'il est mal aiguisé.
Il n'y a aucune raison qu'un cran d'arrêt automatique ne puisse pas être aiguisé correctement.
Citation :
Boutonnière longue signifie profonde, je pense. Rien de commun avec les blessures d'un couteau de boucherie ou un rasoir.
Personne ne sait avec quelle arme a été tuée l'enfant.
Le fait de pouvoir facilement "piquer" (c'est le cas du couteau dont nous parlons, il suffit de regarder la forme de la lame et sa faible largeur) n'empêche pas un couteau de couper.
Citation :
C'est de l'acier inoxydable, pas le type d'acier qu'on trouve sur un opinel.
Qui lui peut être aiguisé comme un rasoir.
Les Opinel (et les autres couteaux aussi d'ailleurs) en acier inox, avec ou sans carbone, qui sont fabriqués aujourd'hui sont tout aussi aiguisables et tranchants que ceux d'avant.
Ce qui détermine le tranchant ce n'est pas directement la qualité du métal, mais l'angle d'aiguisage.
La qualité joue essentiellement sur la longévité du tranchant.
Citation :
Donc je maintiens que ça m'étonne que CR ait pu vouloir aiguiser ce couteau.
Et pourquoi donc ?

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