Citation :
En ce qui concerne l'hypothèse innocentiste que j'imagine ci-dessus pour le plan, j'ai de toute façon une objection majeure qui infirme cette hypothèse :
encore une fois, comme pour le couteau, comment se fait-il que, si les choses se sont passées comme je l'écris, CR ne l'ait jamais dénoncé par la suite, après sa rétractation ? [/color]
Franchement, je ne sais plus comment répondre à cette question que vous et les culpabilistes acharnés avez posée des dizaines de fois.
D'autres y ont également répondu mais vous revenez sans arrêt à la charge.
Que vouliez vous qu'il fisse ?
qu'il se cogne la tête contre les murs ?
qu'il demande à avoir une tribune dans le Monde ?
qu'il demande un entretien avec le directeur de la prison ?
lors de sa rétractation du 27 décembre 74, on se rend compte que la p'tite doudouce di Marinette, juge de son état, n'a absolument pas tenu compte de ce qu'il a voulu lui dire ce jour là.
Il n'est d'accord avec rien et pourtant elle fait écrire qu'il reconnait quasiment tout à sa charge.
Cet entretien du 27 décembre ne convenait tellement pas à C Ranucci qu'il lui a envoyé un courrier le lendemain même pour l'entendre à nouveau estimant qu'il n'avait pas été entendu la veille.
Vous ne voyez donc pas qu'il y a un problème ?
Que voulez vous qu'il fisse face à autant d'autoritarisme ?
qu'il demande à avor une machine à écrire pour taper lui-même le PV et le faire signer ensuite à Di Marinette ?
Ses avocats l'ont laissé tomber pour se souvenir de lui en mars 1976 !
Comment faut il vous expliquer tout cela ?
Bon sang, il y a suffisamment d'affaires en France pour comprendre de quoi sont capables les autorités.