Citation :
A chrystelle
Les aveux de Ranucci ne sont pas des aveux circonstanciés. Ils ne sont ni détaillés, ni complets.
De simples aveux ne veulent rien dire.Notamment sur une personne qui n'a jamais eu affaire à la justice, qui se retrouve complétement perdue, impressionnée par le contexte. Certains suspects fragiles sont capables d'avouer n'importe quoi pour se défaire de la pression. Même un meurtre ou un viol.... On le sait, et c'est à nous policiers , de prendre la distance. Ainsi quand à la fin d'une garde à vue ou d'une enquéte, je n'obtiens que les aveux de la personne, je considére que j'ai échoué.
Cest un policier qui parle. Laurent Laclau-Lacrouts, secrétaire national chargé de l'investigation au sein du syndicat majoritaire Alliance., chef enquéteur au groupe criminel de la premiére division de police judiciaire. (extrait de Quand la justice se trompe de Maxime Amiot, CLD Edition Page 112).
Les exemples d'aveux "estorqués" puisqu'il ne peut s'agir que de cela sont nombreux. De preuve matérielle irréfutable et indiscutable, il n'y en a pas une seule, sinon ce forum n'aurait pas lieu d'exixter.
Vous évoquez le couteau, pourtant rien ne confirme que c'est l'arme du crime. Vous croyez qu'il a été retrouvé sur les indications de Ranucci, alors que d'aprés ce qu'à écrit le policier Fratacci, le couteau a été retrouvé dans "la malle" de la 304 au cours de la fouille qui a eu lieu dans la cours de l'évéché, le 6 juin en matinée.
J'ai lu l'ouvrage de Fratacci, le couteau dont vous parlez est l'opinel effectivement retrouvé dans le coupé, moi je vous parle du cran d'arrêt , parlons nous du même couteau