Citation :
Ca se trouve, il y a eu confusion, les gendarmes ont peut-être mal compris les indications des policiers et ont cru qu'il fallait chercher à l'entrée de la champignonnière alors que c'était près de la galerie.
Ca se trouve, si ça se trouve……….. les gendarmes ont peut-être, ……………….que des suppositions.
Suppositions qui ne reposent sur aucun élément connu.
Citation :
N'avons nous pas ici quelques fois, pour certains d'entre nous, confondu les deux endroits ?
Je ne me souviens pas de ces confusions, il faudra me montrer.
J’admets qu’il y a pu y avoir confusion lorsqu’il était question de l’entrée de la champignonnière et seulement de cela.
Dans ce cas, il est en effet possible de confondre l’entrée du chemin (là où il y a la barrière) et l’entrée de la………..galerie.
Mais à partir du moment où il est question de tourbe ou de fumier, la confusion n’est plus possible.
Donc, pour supposer que les gendarmes avaient pu confondre, au prétexte que sur le forum, certains avaient pu le faire, il faut, pour pouvoir comparer des choses comparables, supposer aussi que les gendarmes avaient le même type d’information que celle qui sur le forum pouvait amener confusion.
En clair, si les policiers ont donné aux gendarmes les informations dont ils disposent, c’est à dire, celles contenues dans les aveux :
Citation :
Je ne suis engagé dans la piste qui donne accès à la galerie. Le long de cette piste, se trouve une espèce de place où est étalée de la tourbe
Il est question de galerie et de tourbe. La confusion est donc absolument impossible.
Citation :
Au bout d'une heure et demi, les gendarmes appellent l'Evêché, disent qu'ils ont fouillé à l'entrée de la champignonnière mais qu'ils n'ont rien trouvé. Sur ce, les policiers comprennent qu'il y a eu méprise et leur expliquent qu'il faut chercher dans le tas de fumier près de la galerie où le suspect a embourbé sa voiture.
Là, nous ne devons pas parler de la même affaire. Les gendarmes n’ont pas passé tout leur temps à « l’entrée de la champignonnière » (sous-entendu, à côté de la barrière, s’ils sont dans leur confusion).
Il faut croire qu’ils ont « progressé dans le chemin puisque la liaison téléphonique est censé avoir eu lieu depuis « la place où est étalée de la tourbe ».
Citation :
je n'exclue pas non plus l'hypothèse selon laquelle le meurtrier s'est débarassé de l'arme du crime dans la 304 suffisamment bien pour que C Ranucci ne le trouve pas
Ainsi, ce sont les policiers qui le trouvent lors de la fouille minutieuse le 6 dans la cour de l'Evêché et qui vont le cacher là où l'on sait.
Il n’est pas possible d’envisager cette hypothèse et en même temps de supposer que les gendarmes avaient pu confondre l’endroit où il fallait chercher.