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Pas clair mais si cela veut dire que les policiers aient pu influencer le journaliste qui va écrire son article dans la soirée du 5 juin, rien ne montre que cela ai pu se produire, d'autant que cela est tout à fait impossible.
On le sait bien: les policiers sont passés voir les Aubert, et ont ensuite donné leurs coordonnées aux journalistes.
Non, il ne faut pas me dire cela à moi qui soutien que non, les policiers ne sont pas passés chez les Aubert en allant à Nice. J'ai démontré que cela était impossible.
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Et comme par hasard ensuite dans les interview le paquet se transforme en enfant, et Mme Aubert apparaît.
N'importe quoi. Quels sont ces interviews des Aubert où le paquet devient un enfant, avant que les Aubert arrivent à l'Evéché ?
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Bouladou a (involontairement ?) craché le morceau le passage des policiers ("ce fait") :
Bouladou n'a rien craché du tout. Bouladou n'a pas écrit dans ses livres que les policiers étaient passés chez les Aubert en allant à Nice.
Le texte présenté, ce n'est pas Bouladou qui l'écrit, c'est Conrié et il n'est pas à une ânerie près.
Dans ce texte, Conrié affirme que Le Meur laisse entendre que en allant chez les Aubert dans la soirée du 5, ceux-ci ont influencé l'écriture du télégramme qui s'est faite quelques heures avant. Oui, c'est du Conrié. Celui qui affirmait que le télégramme a été écrit par les gendarmes.
Le texte écrit par Le Meur le voici:
"
Revenons au télégramme de la DDPU : le 5 juin 1974, des policiers de la
Sûreté urbaine et du SRPJ vont entendre M. Aubert à son domicile à propos de
sa poursuite du fuyard après l'accident, mais on ne trouve aucun procès-verbal
de cette déposition dans le dossier! C'est ahurissant. J'ose me demander s'ils
ne se sont pas surtout déplacés pour faire une mise au point avec M. Aubert
suite à sa déclaration aux gendarmes où il parlait d'un « paquet assez
volumineux». Et lui demander de déclarer désormais que l'automobiliste
fuyard était parti dans la colline bordant la RN 8 bis non plus avec un
« paquet », mais avec un enfant. "
Donc si Bouladou voulait reprocher quelque chose à Le Meur, c'était tout à fait autre chose.