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JP s'obstine à ne retenir qu'un seul des deux avis qu'il a obtenus. Durigon était trop vague à ses yeux, j'imagine. C'est pourtant lui que j'ai envie de suivre, car c'est l'autre qui me parait trop précis.
Vous vous obstinez doc à retenir un avis qui ,'est pas celui que retient JPascal. Si vous demandez des avis à des experts, c'est a priori pour qu'ils soient précis plutôt que vagues... non ????
Non. Quand ils sont vagues, c'est qu'ils ont de bonnes raisons de l'être, je pense.
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Le document de Laurence parle d'un stade initial de putréfaction (deux à trois jours) puis d'un stade de putréfaction débutante ou putréfaction "verte" (première semaine). Il semble que le corps autopsié se trouvait dans la première phase (deux à trois jours). J'en déduis que la mort n'est pas récente, et par conséquent, je la situe le jour de l'enlèvement, sans plus de précision (car il est impossible d'être plus précis).
Ceci en retenant un des deux avis d'experts... Pour l'un d'entre eux, la date du 3 est tout à fait exclue...
Non, ça n'était pas en retenant l'avis de Durigon. C'était mon propre avis. Il vaut ce qu'il vaut.
Je ne suis pas légiste.
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La température du corps, elle, n'aurait été intéressante que dans le cas d'une mort récente. Or, le début de putréfaction prouve que ce n'est pas le cas. En ce qui me concerne, donc, j'estime que la température ne permettait aucune estimation.
Ah !
Oui, vous voyez, je m'autorise à penser, des fois.
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Je pense avoir répété ça dix fois, mais je sens que ça échappe encore à certains.
Et on termine sur une phrase très bouladienne. Ca vient peut peut être du fait que ce n'est pas très convaincant.
Non, ça vient du fait que je n'ai pas convaincu certaines personnes. De toute façon, je n'ai convaincu personne avec Spinelli, et pourtant, quelque chose me dit que c'est moi qui ai raison.
Mon but n'est pas de convaincre. Je présente mes hypothèses et les défend si besoin est, le plus tranquillement du monde. Par contre, quand il s'agit d'un principe de logique irréfutable, je peux perdre un peu patience au bout de la dixième explication.
Cela dit, je regrette le ton de cette phrase, et j'étais sur le point de m'auto-censurer au moment de l'écrire. Mais bon, je l'ai laissé, car après tout, je l'ai pensé très fort. Comme la phrase sur les mathématiques élémentaires.