Citation :
Pour en revenir au sujet de ce fil, certains posteurs hypnotisés par leur propre conviction de l'innocence de leur protégé en viennent à nier le fait que c'est bien le couteau de Ranucci qui a été retrouvé sur ses propres indications.
Même JF Leforsonney a toujours reconnu que son client lui avait toujours maintenu qu'il s'agissait bien de son propre couteau.
Autre élément dévasteur pour la thèse bancale de l'innocence : lors de la reconstituion, Ranucci a montré fièrement du pied l'endroit précis où le couteau avait été retrouvé... Même Pierrot Grivel en a été "ébranlé"!
Incroybale, non?
Voilà un argument qui n'en est pas un dv. Je m'explique : selon l'accusation, Christian Ranucci a tué dans la panique, on est d'accord. Donc l'acte n'est pas prémédité, vous me suivez. Dans les aveux, on retrouve une phrase "je ne suis pas un salaud". A priori c'est clair, selon la thèse officielle, Ranucci à tuer cette enfant sous la pression, dans la panique la plus totale. C'est la thèse échaffaudée par les enquêteurs, dont Pierre Grivel. Je pense que vous m'accordez ces faits.
Alors, petite question de bon sens ; d'après vous, est-ce qu'un jeune homme de 20 ans qui a tué dans l'affolement, et qui à priori le regrette, a des raisons pour désigner fièrement l'endroit où il a caché l'arme du crime?
Pas très cohérent quand même. Et je maintiens qu'on enfonce pas un couteau 20cm sous terre en lui donnant un simple coup de pied. Ce n'est pas une spéculation, mais une réalité physique.
Où est-il relaté que Ranucci avait fièrement montré l'endroit où il a caché le couteau, dv ?
Je partage le point de vue de Jayce sur cette contradiction psychologique dans le comportement.