Perrault avait interrogé Gras sur ce point

Il lui demandait pourquoi ils avaient commencé les recherches loin de la galerie.
Gras lui répondit qch comme :"mais vous me prenez pour un imbécile ou quoi ? Si on m'avait dit où il fallait commencer, j'y serais allé."

C'est quand même étonnant non ?

Dans mon tout premier courrier à M Gras, je lui ai posé la question à savoir s'il n'avait pas eu l'impression à l'époque d'avoir été "trimballé" par les policiers.
Il m'avait répondu :"compte tenu de mon age actuel, je ne peux répondre à vos questions pourtant heureuses !"

Je suis persuadé que M Gras a du se poser la question à propos de cette journée du 6 juin. N'ai-je pas été trimballé par les policiers ?

Si vous croyez encore ce que raconte Perrault, je comprends vos difficultés pour comprendre cette affaire.
Si je comprends bien, un gendarme assiste aux aveux de Ranucci qui dit que le couteau est dans le tas de tourbe devant la champignonnière et ce gendarme indique à ses collègues qu'il faut chercher ailleurs !...
dans le comique, on ne fait pas mieux !

L'essentiel est que vous ayez survécu.

Bien sûr, tout cela est incohérent. On dirait qu'on sait que l'arme du crime est par là avant que ranucci n'avoue...

Perrault a déformé tout ce qui lui a été dit. Procurez vous le débat que j'ai eu sur la chaine de Marseille au mois de janvier et vous l'entendrez dire par Roger Arduin, le journaliste d'Europe un.
Il a déformé ce que lui a dit le commissaire Alessandra, ce que lui ont dit Guazzone et Spinelli (c'est pour cela qu'il sdisent maintenant qu'ils ne lui ont pas parlé)
Quant à Maître Arnoux, il m'a indiqué que Perrault était visiblement contrarié par ce qu'il lui disait et il n'en a jamais fait état.
Quant on voit qu'il prends dans l'article de Nice matin un élément qui va dans le sens de sa thèse et qu'il ne prend pas la phrase suivante qui va à l'encontre de celle-ci, on voit toute la partialité de ce qu'il raconte.
Il a fait dire aux gens qu'il a consultés ce qu'il avait envie d'entendre et non pas ce qu'ils lui ont dit.

ah bon, vous êtes certain que le gendarme envoyé par Gras à l'Evêché le 6 juin était dans le bureau d'Alessandra ou de porte au moment où C Ranucci passe aux aveux ?

Et bien, voyez vous, j'ai posé la question à Arduin et il m'a répondu qu'il n'avait vu aucun gendarme sortir du bureau où était interrogé Ranucci.

Les journalistes ont juste vu les Aubert, Ranucci et Alessandra et Porte dans ce bureau. Personne d'autre

Il me semble que pour garder ce qui arrange et éliminer ce qui dérange M.Perrault n'a pas inauguré le procédé si toutefois il a eu recours à cette méthode détestable. Par exemple : dites moi Monsieur Bouladou pourquoi Mlle di Mariono n'a jamais entendu M.Spinelli?

Qu'a dit Maîtree Arnoux qui contrariait GPerrault ? Quel élément de Nice Matin a été éliminé par GPerrault?

Trop sincère M.Bouladou...

Merci de confirmer de MM.Guazzone et Spinelli ont menti en affirmant n'avoir pas parlé à Gilles Perrault. Donc ils lui ont parlé et vous avez eu tort de dire que GPerrault inventait.

Maintenant est-ce M.Perrault qui a déformé leurs propos ou ces deux messieurs ont ils pris une avoinée pour avoir trop parlé ???

Ce que déclare Ranucci dans ses aveux ne parmet pas de situer précisément l'endroit ou il aurait jeté le couteau.

Les policiers savaient depuis le 5 juin que C Ranucci avait séjourné dans la galerie le 3 juin.

Pourquoi ne lui ont ils pas demandé où il avait enterré le couteau par rapport à la galerie par exemple ?
Je ne comprends pas pourquoi ils ne lui posent pas cette question qui s'imposait.

S'ils ne lui ont pas demandé c'est qu'ils ont jugé qu'ils n'avaient pas besoin de cette information.

Aujourd'hui, j'ai eu confirmation par Roger Arduin, journaliste d'Europe 1 et présent à l'Evêché le 6 juin qu'il n'y avait aucun gendarme gradé présent à la police de Marseille, contrairement à ce qu'écrit Gilles Perrault dans le POR (page 84-nouvelle édition Fayard) et ce que m'a répondu M Gras dans mon dernier courrier ("Ce ne sont pas les policiers qui m'ont signalé la présence du couteau, mais j'avais envoyé un adjudant adjoint qui interrogeait aussi Ranucci à la Police et qui m'a renseigné")..

J'ai tendance à donner raison à Arduin qui aurait sûrement remarqué la présence d'un gendarme en uniforme. Les journalistes étaient tout près du bureau où était interrogé C Ranucci.
Et puis, j'ai du mal à croire qu'un gendarme puisse interroger C Ranucci à l'Evêché.
C'est le mélange des genres qui ne colle pas.

Même confirmation de la part de l'adjudant Monnin. Aucun gendarme n'était présent le 6 juin à l'Evêché.

Je reste convaincu que les policiers ont agi seuls et que c'est eux qui ont donné le renseignement aux gendarmes pour trouver rapidement le couteau.

Comment sont-ils en contact par radiotéléphone alors ?

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.

je suppose que Gras pouvait contacter l'Evêché directement avec son radio téléphone.

compatibilité, ne serait ce que de fréquences, entre un radiotelephone des gendarmes et un de le Police... ??? c'est faisable ca ?

la radiotéléphone est l'ancêtre du téléphone portable d'aujourd'hui.

Oui oui, mais il s'agit de canaux réservés et je me demande si la police et les gendarmes utilisent (aient) les mêmes bandes et les mêmes fréquences ???