Nous sommes le 08 juin 2025, 13:20

Heures au format UTC+02:00




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [360 messages ]  Aller à la pagePrécédente1111213141524Suivante
Auteur Message
 Sujet du message : Re: LE COUTEAU
Message non luPosté :04 févr. 2005, 00:07 
Hors ligne
autres

Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
Messages :5301
Citation :
Quand je vois les questions que vous posez sur le sabot, les griffures sur les jambes de MD, etc…je me demande si vous n’allez pas un jour trouver bizarre l’inclinaison de la végétation ce jour-là. Vous avez l’art de ne rien vouloir comprendre qui va dans le sens de la culpabilité, d’embrouiller les conversations avec des mots inutiles, de dire qu’on n’a rien expliqué juste quand on vient d’expliquer.
Vous vous êtes enfoncés dans votre rêve de RANUCCI innocent et votre réveil sera d’autant plus dur. Un meurtrier est un meurtrier.
Je trouve au contraire que ce sont de très bonnes questions.

Le sabot : elle perd son sabot en montant sur le talus, mais Ranucci ne le remarque pas. Elle monte de son plein gré, mais ne demande pas à Ranucci si elle peut remettre son sabot. C'est quand même bizarre.

C'est idiot, je le sais, je préfère en déduire pour ma part qu'elle s'est enfuie. Ce que les aveux ne disent pas, ni les Aubert qui pourtant se trouvaient à quelques mètres si l'on en croit leurs déclarations.

Les griffures : si l'on prend la version de l'accusation, cela ne s'explique pas puisque normalement, elle monte sur le talus de son plein gré, que Ranucci la tue et la cache sur place. Donc les jambes devraient être intactes. Les griffures ne reçoivent aucune explication.

Ce n'est pas possible : tous les éléments doivent concourir. Donc je préfère en déduire que les griffures proviennent de sa fuite et proviennent aussi du fait qu'on a déplacé le corps après sa mort.

Je ne trouve pas ses déductions totalement aberrantes.

S'il fallait analyser la végétation pour comprendre ce qu s'était passé ce jour là, ce n'était pas inutile. Comme je n'ai aucun élément là-dessus, je ne peux rien dire.

Il est vrai que toutes les déductions que nous faisons aujourd'hui, il revenait aux enquêteurs de les proposer. Hélas.


Haut
   
 Sujet du message :
Message non luPosté :04 févr. 2005, 00:23 
Hors ligne
autres

Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
Messages :5301
Je ne veux pas comprendre ? Ben alors expliquez-moi. Je ne demande que cela.

Jusqu'à présent, on me propose des contorsions qui ne m'aident pas. Regardons la chose : ce qui accuse principalement Ranucci, c'est le fait qu'il se soit trouvé sur les lieux du meurtre, une heure, une heure et demi après l'enlèvement.

Oui. Mais au-delà ? Maintenant on saitqu'il venait de voir son père à Allauch. Les enquêteurs auraient pu le trouver, soit-dit en passant.

- Un pantalon qu'on aurait retrouvé dans son coffre. Mais vous ne m'expliquez pas pourquoi Ranucci l'a laissé là, alors qu'il s'est débarassé du reste ?

- Un couteau automatique genre poignard de loubard ou de baroudeur, dont il paraît indiquer l'emplacement. Je dis paraît, parce qu'on ne l'emmène pas sur les lieux. Et puis on ne sait pas quand il l'a acquis, on ne demande rien là-dessus. Curieuse enquête vous ne trouvez pas ?

- un pull-rouge. Mais il n'est pas à lui puisque le commissaire "n'insiste-pas", et que personne ne vient dire qu'il porte du rouge.

- des aveux ? Oui mais non étayés, qui ne disent rien qui ne soit inconnu des enquêteurs. Et qui recèlent des invraisemblances qui dépassent de beaucoup l'amnésie qu'on lui prête.

- un plan, oui mais qui ne ressemble pas à ce que Jean Rambla décrit de l'enlèvement, notamment, Ranucci n'indique pas la voie qui mène au rond-point.

- Le témoignage Aubert ? Oui, que peut-on en garder ? Pas grand-chose, ils sont tout à côté de la fillette, et elle ne se précipite pas vers eux, elle suit quelqu'un qui vient de l'enlever.

Je vois les éléments d'accusation et je vois qu'ils ne collent pas. C'est un psychopathe qui tue une gamine de 15 coups de couteau, comme c'est un psychopathe qui a tué les deux infirmières. On devrait trouver un acabit du genre de Heaulme, ou Van Geloven, quelqu'un qui a un passé de ce style, qui a déjà commis des agressions. Là on a un gamin que tout le monde décrit comme : normal, calme, réservé. Normal, calme, réservé. Qui vit au milieu des gamins et ne les agresse jamais, qui sort avec ses copines et qui n'emmerde personne.

Tout cela ne fait pas une accusation. Et pour recoudre l'accusation, il vous faut aller chercher des températures pour dire que c'est un polo, pas un pull. Mais c'est quoi ça...

Je préfère mon scénario oui, je le trouve plus cohérent : un homme enlève l'enfant en simca, se gare sur le chemin de la Doria à l'abri des regards, la gamine s'enfuit, heurte le fossé, perd sa chaussure. Du coup il la rattrape, il la tue en haut du talus, la traîne sur quelques mètres ou quelques dizaines de mètres.
Surgit la voiture de Ranucci qui s'arrête. Surgissent les Aubert qui s'arrêtent, aperçoivent ledit bonhomme tirant le corps peut-être. L'homme monte dans la voiture de Ranucci, la conduit à la champignonnière pour récupérer des affaires, oublie le pull, au passage cache le couteau et remonte à pied, traverse la route et va reprendre sa voiture.

Oui franchement ce scénario me convient mieux, parce qu'il tient compte de tous les éléments. Le vôtre est obligé de faire des impasses.


Haut
   
 Sujet du message : LE COUTEAU
Message non luPosté :05 févr. 2005, 11:29 
Hors ligne
autres

Enregistré le :02 févr. 2004, 23:07
Messages :579
Localisation :AIX EN PROVENCE
GIHEL n’a toujours pas compris ce qu’était une fiche de scellé : un petit bout de carton qu’on accroche à un scellé pour ne pas mélanger les scellés des nombreuses affaires traitées par les services de police, de gendarmerie. Ce risque de mélange est plus grand au greffe du tribunal de grande instance où il y’a des milliers de scellés. Alors on met certaines mentions sur cette fiche qui permettent de retrouver tout de suite l’affaire : c’est la date et la nature de cette de l’affaire : ici la date de l’affaire pour les gendarmes, c’est le 5 juin 1974 et la nature c’est : Découverte du cadavre de MD RAMBLA.Pour la date de découverte du couteau, elle est portée sur les procès-verbaux de la gendarmerie, c’est le 6 juin 1974 et pas le 5, ça c’est trop compliqué pour GIHEL.

(je voulais mettre ici la copie du manuel qui explique les mentions que l'on marque sur une fiche de scellé et qui corrobore mes propos mais je n'arrive pas à le faire. C'est comme cela que les gendarmes et les policiers travaillent. Ce n'est pas à GIHEL ou à Gilles Perrault d'expliquer aux policiers ce qu'il faut ou ne faut pas faire. Des spécialistes du droit (eux) l'ont fait avant) ( si l'on m'indique la marche à suivre, je vous envoie la copie de ce manuel)



Quant à la petite erreur que fait l’inspecteur divisionnaire PORTE, lorsqu’il remet son procès-verbal de recolement de scellés, sur la machine à écrire au lieu de faire une nouvelle mention, GIHEL n’admettra jamais qu’il s’agit d’une petite erreur puisque cette petite erreur lui sert à démontrer que le meurtrier de MD est innocent.
En effet le six au soir, l’inspecteur divisionnaire PORTE a très bien pu demander au téléphone la description des scellés aux gendarmes en sachant qu’il les aurait le lendemain seulement et faire sa mention dans laquelle il dit simplement que les scellés remis par les gendarmes (il aurait du mettre : qui nous seront remis demain) seront déposés au greffe du Tribunal de Grande Instance.

Cette théorie de PORTE qui saisit le couteau du meurtre le 6 au soir à 17 heures 30 est complètement débile mais à un point ….que je ne qualifierais pas.

Soit il se plante et il saisit le couteau le 5 si l’on en croit cette théorie que je ne qualifie plus pour rester poli et qui a été lancée par un Gilles Perrault qui ne comprend rien à rien, on le voit tout au long de son livre, et même dans son interview sur ce site, soit il ne se plante pas car il sait très bien que les gendarmes vont chercher le couteau sur les indications de CR et après dix sept heures trente. De plus il sait qu’à dix neuf heures passées, un appel des gendarmes a indiqué qu’ils n’arrivaient pas à retrouver le couteau (bien sûr, GIHEL, ils sont tellement bêtes ces gendarmes qu’ils ont utilisé un outil pour l’enfoncer profond pour qu’on ne le retrouve pas ! Bravo GIHEL !) et qu’ils voulaient des précisions pour le chercher plus efficacement.

Deuxième point : sur le couteau. Le niveau d’incompréhension de GIHEL dépasse toutes les limites : je ne vais pas reprendre toutes les inexactitudes que contiennent ses posts.
On sait bien sûr, depuis que CR l’a avoué que le couteau est enfoncé et qu’on va avoir du mal à le trouver. Il y’a dans un interrogatoire (certains prétendent qu’il a été entendu 19 heures, ce qui est aberrant et je peux vous expliquer, preuves à l’appui dans cette affaire pourquoi) ce qui est écrit et ce qui est dit. Et comme on ne peut pas marquer dans un procès-verbal tout ce qui se dit, sinon cela serait interminable à lire, il y’a des précisions ipportantes dans ce qui est dit.
Le seul fait de dire, » j’ai jeté le couteau à terre et je lui ai donné un coup de pied dedans » montre que le seul fait d’avoir donné un coup de pied dedans l’avait rendu invisible, sinon, CR aurait fait autre chose pour le cacher.
Dans son audition du 6 mlle DI MARINO il déclare : « j’ai donné un coup de pied au couteau, ce qui a eu pour effet d’enfouir le dit couteau dans la tourve qui se trouvait à cet endroit. »
Il n’y aucun mystère dans tout cela.
Gilles Perrault a consruit sa thèse autour de ses convictions, ce qui lui a enlevé toute capacité de jugement objectif (ajouté à sa méconnaissance de la procédure et du dossier) . GIHEL fait pareil mais en pire.

GIHEL, inutile de me répondre, je n’ai plus de temps à perdre. J’ai reposté parce que je suis passionné par l’affaire et que j’ai eu un peu de temps ;
Mais tant que vous ne comprendrez pas ce qu’est une fiche de scellé malgré toutes les explications qu’on vous donnne, cessez d’écrire toutes les bétises que vous écrivez à part si vous voulez nous amuser. (et bien que cette affaire ne soit pas du tout amusante)
Vous ne vous rendez pas compte que vous défendez un meurtrier.



    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 11:54 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    GIHEL n’a toujours pas compris ce qu’était une fiche de scellé : un petit bout de carton qu’on accroche à un scellé pour ne pas mélanger les scellés des nombreuses affaires traitées par les services de police, de gendarmerie. Ce risque de mélange est plus grand au greffe du tribunal de grande instance où il y’a des milliers de scellés. Alors on met certaines mentions sur cette fiche qui permettent de retrouver tout de suite l’affaire : c’est la date et la nature de cette de l’affaire : ici la date de l’affaire pour les gendarmes, c’est le 5 juin 1974 et la nature c’est : Découverte du cadavre de MD RAMBLA.Pour la date de découverte du couteau, elle est portée sur les procès-verbaux de la gendarmerie, c’est le 6 juin 1974 et pas le 5, ça c’est trop compliqué pour GIHEL.
    Ce qui permet de retrouver une affaire, à la gendarmerie de Gréasque apparemment, c'est le titre qu'on lui donne. Donc j'ai bien compris que l'on classe les scellés en leur attribuant un titre avec le nom de l'affaire : découverte du corps de Marie Dolorès Rambla

    Et qu'on rattache le scellé à un PV comme d'habitude, et c'est écrit en toute lettre : Procès Verbal n°610 du 5 JUIN 1974. Pas du 6 juin, c'est dommage.
    Donc un PV qui datait du 5 juin a disparu. C'est bête.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 12:11 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    Quant à la petite erreur que fait l’inspecteur divisionnaire PORTE, lorsqu’il remet son procès-verbal de recolement de scellés, sur la machine à écrire au lieu de faire une nouvelle mention, GIHEL n’admettra jamais qu’il s’agit d’une petite erreur puisque cette petite erreur lui sert à démontrer que le meurtrier de MD est innocent.
    En effet le six au soir, l’inspecteur divisionnaire PORTE a très bien pu demander au téléphone la description des scellés aux gendarmes en sachant qu’il les aurait le lendemain seulement et faire sa mention dans laquelle il dit simplement que les scellés remis par les gendarmes (il aurait du mettre : qui nous seront remis demain) seront déposés au greffe du Tribunal de Grande Instance.
    C'est fou ce que l'on peut commettre comme erreurs à la sûreté !

    C'est une engeance !

    Regardez les contorsions que vous êtes obligé de faire pour justifier qu'à 17h30 (c'est écrit en toutes lettres en haut du PV, car c'est écrit PV en haut) Porte établit deux listes et les réunit, il écrit cela d'une seule traite : "de même suite".

    Mais à 17h30, le problème c'est que le couteau n'est pas découvert. Et vous nous dites en quelque sorte, ben oui, à 17h30, il a commencé à rédiger son PV, et puis il a laissé le PV dans la machine, il est allé faire autre chose, et il est revenu à 19h et à 19h, il a appelé la gendarmerie pour avoir la liste de tous les objets.

    Mais cela ne marche pas : les objets qui sont sur le seconde liste, ils sont déjà à la sûreté : le pull, le n°1. Il est à la sûreté, les gendarmes l'ont donné la veille au soir, sinon comment on le montrerait à Ranucci ?

    Et tous ces objets sont rapporté à un seul PV, n°610, du 5 juin 1974.

    Pour quelle raison les gendarmes attribuent-ils d'ailleurs la cote 8 au couteau, alors qu'ils ne possèdent déjà plus les autres objets, qu'ils ont déjà été joints à la procédure principale ?

    Ce qui est délirant c'est que la seconde liste de Porte, non seulement réunit le couteau aux objets trouvés le 5, mais qu'elle indique "de même suite", donc 17h30.

    Si c'était ce que vous dites, le couteau serait sur une troisième liste, et sur un autre Pv récapitulatif, joint au premier certes, mais avec une autre heure.

    Donc la contorsion dans ce cas c'est : ah oui, mais vous comprenez, Porte c'est un type qui se trompe, qui fait de petites erreurs. 15 ans de maison, mais il se trompe, c'est un amateur en somme...


    A d'autres...


    Haut
       
     Sujet du message :
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 13:16 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    En fait le PV du 5 n°610, c'est ce qui constitue le dossier si je comprends bien. Et les fiches de scellés s'y rapportent. Donc rien n'a disparu.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: l'analyse du couteau
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:09 
    Citation :
    En page 7 du rapport d’expertise du professeur agrégé H. OLLIVIER et du docteur F. VUILLET, rapport daté du 25 juillet 1974, on trouve la mention suivante :

    « Nous avons mis en œuvre, à partir des macérations effectuées sur des prélèvements des taches observées sur :
    - le couteau-poignard du scellé N°8
    - la pierre du scellé n°3
    - la pierre du scellé n°5
    - la branche du scellé sans numéro,
    - et le pantalon saisi sur RANUCCI (encore une erreur !)

    la réaction d’orientation de KASTLE FEYER et la réaction de certitude de Gabriel Bertrand qui se sont révélées : positives confirmant la nature sanguine des taches.
    L’identification de l’origine humaine du sang a été effectuée selon la technique classique des sérums précipitants….ce qui découvre l’origine humaine du sang.

    Les essais d’identification groupale effectuées par la méthode de WOLZEN a permis de préciser que le sang en cause appartenait au groupe A
    C'est-à-dire qu’il appartient au même groupe sanguin que la jeune RAMBLA Marie Dolorès. »

    Il parait difficile, après avoir lu cela, d’affirmer que les experts ont prétendu avoir identifié les taches brunes sur le couteau uniquement en jetant un furtif coup d’œil. Et pourtant c’est ce que je lis sur la page du site concernant le couteau et dans divers autres documents vidéo ou sonores concernant cette affaire.
    Je tenais donc à apporter ce rectificatif.
    De grosses erreurs, par méconnaissance de l’affaire ( Gilles PERRAULT oblige…) sont commises sur la date de saisie du couteau, sur la soit-disant saisie multiple de la voiture, du pantalon, sur le témoignage de M. MARTINEZ et celui de M. AUBERT.
    L’année 2005 va être l’année de la vérité sur l’affaire RANUCCI, preuves à l’appui. Vous aurez toutes les pièces du dossier qui vous manquent.

    C EST SUR CA VA ETRE L ANNEE RANUCCI MAIS C EST PAS DE TOI QUE VA VENIR LA VERITE
    C EST UN PEU PRETENTIEUX DE TA PART


    Haut
       
     Sujet du message :
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:10 
    Citation :
    Citation :
    L’année 2005 va être l’année de la vérité sur l’affaire RANUCCI, preuves à l’appui. Vous aurez toutes les pièces du dossier qui vous manquent
    Pourquoi attendre presque 30 ans pour le faire?
    Logiquement la vérité on l'a connaît sinon Ranucci n'aurait jamais été en prison
    LE NOMBRE D INOCENT RESENSE QUI ONT ETE EN PRISE RENSEIGNE TOI
    A L EPOQUE IL FAILLAIT A TOUT PRIX UN COUPABLE CA ARRANGEAIT BIEN LA JUSTICE ET Valéry Giscard d'Estaing


    Haut
       
     Sujet du message : Re: le couteau
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:14 
    Citation :
    DALAKHANI
    Votre connaissance du dossier est nulle, ce qui fait que vous trouvez des manipulations partout, écrivez des bétises, insultez les policiers les gendarmes... etc...etc..Félicitatation pour l'éthique !
    Lorsque vous écrivez que la trace de pas est dans le fossé, c'est contraire au dossier. Les gendarmes, sur le plan des lieux qu'ils ont dessiné, ont positionné la trace qu'ils ont relevée sur le bord nord du fossé, là précisément où la petite fille a sauté.
    Mlle DI MARINO dans son procès-verbal relatant son transport sur les lieux
    indique : "Nous avons dû franchir un caniveau bordant la route. Les gendarmes nous ont fait remarquer la présence d'une trace de talon de chaussure bordant le caniveau côté colline. NOus nous sommes ensuite engagés dans les fourrés surplombant la route. A quelques mètres de celle-ci, nous avons trouvé une petite chaussure d'enfant de type sabot à talon, talon dont une trace avait été remarquée par nous au bord du caniveau." Ces élements n'empêcheront pas à certains de dire que la fillette a été amenée là morte, portée par l'assassin.
    Mais il est vrai que l'assassin, dans son génie, a dû faire une marque avec le sabot de la fillette sur le bord du fossé et ensuite mettre le sabot à deux mètres du corps. Quel génie cet homme !
    J'ai voulu intervenir un petit peu pour vous dire : "Attention, vous racontez n'importe quoi, vous n'avez pas les élements pour enquêter" mais l'exercice est fastidieux puisque qu'à chaque réponse ôù je cite un élément du dossier fait suite une nouvelle inepsie contraire à ce que contient le dossier. A ce rythme, on s'épuise rapidement. On n'a pas l'impression d'avoir en face des personnes qui veulent enquêter et approcher la vérité mais des personnes qui se complaisent dans les inventions pour trouver des manipulations policières, gendarmesques ou de la juge d'instruction.
    Lorsqu'on y réfléchit, c'est inquiétant de lire des gens qui trouvent une manipulation dans chaque légende de photographie, dans chaque phrase, dans chaque acte d'un policier, d'un gendarme ou d'un magistrat.
    Cela porte un nom.....mais je l'ai oublié.
    Si je suis autorisé par l'administrateur car je ne pense pas que mes interventions correspondent à l'esprit de ce forum et mes réaction sont quelquefois un peu dures devant tant d'élucubrations, j'interviendrai de temps en temps lorsque ce que vous écrirez sera contraire aux éléments du dossier.
    Et oui DALAKHANI vous pouvez lire en 2005, déjà, que les traces brunes sur le couteau ont été analysées, ce qui permettra à Gilles PERRAULT dans le débat de la télévision belge passé après le film de Michel DRACH qu'elles n'ont pas été analysées et que la trace de sabot de Marie Dolorès n'est pas dans le fossé (vous pourrez remercier celui qui vous a raconté ça) mais sur le bord du fossé, là où la fillette a sauté.
    pOUR PARLER D INSULTE VOUS ETES MAL PLACES
    VOUS INSULTEZ PERRAULT LEFORSONNEY ET NOUS TRAITEZ DE REVISIONNISTES APRENEZ DONT A RESPECTER AUTRUI


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:43 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    Quant à la petite erreur que fait l’inspecteur divisionnaire PORTE, lorsqu’il remet son procès-verbal de recolement de scellés, sur la machine à écrire au lieu de faire une nouvelle mention, GIHEL n’admettra jamais qu’il s’agit d’une petite erreur puisque cette petite erreur lui sert à démontrer que le meurtrier de MD est innocent.
    J'ai regardé attentivement le fac-similé de ce PV. Pour écrire la seconde liste, l'inspecteur n'a pas pu retirer les feuillets de la machine à écrire car les deux parties sont dans un alignement et une distance exacte qui correspond au crantage de la machine (y compris la légère inclination), horizontal et vertical.

    Donc la seule solution, c'est que le PV soit resté coincé dans la machine. Mais dire que l'inspecteur Porte aurait remis la feuille dans la machine une demi-journée ou une journée plus tard ne résiste pas à l'examen attentif des caractères tels qu'ils sont placés. Les deux listes ont été écrites dans la foulée sans que la feuille n'ait été retirée, sinon on constaterait un léger décalage, ce que corrobore la mention : "de même suite" qui signifie apparemment "au même moment".

    En revanche la mention : "l'inspecteur divisionnaire" a été rajoutée après que les feuillets aient été retirés, puis remis dans la machine, cette fois, ils ne sont pas dans le bon alignement, ni horizontal, ni vertical.

    Comme si l'on avait voulu séparer artificiellement les deux listes par ladite mention et la signature.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:51 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    Soit il se plante et il saisit le couteau le 5 si l’on en croit cette théorie que je ne qualifie plus pour rester poli et qui a été lancée par un Gilles Perrault qui ne comprend rien à rien, on le voit tout au long de son livre, et même dans son interview sur ce site, soit il ne se plante pas car il sait très bien que les gendarmes vont chercher le couteau sur les indications de CR et après dix sept heures trente. De plus il sait qu’à dix neuf heures passées, un appel des gendarmes a indiqué qu’ils n’arrivaient pas à retrouver le couteau (bien sûr, GIHEL, ils sont tellement bêtes ces gendarmes qu’ils ont utilisé un outil pour l’enfoncer profond pour qu’on ne le retrouve pas ! Bravo GIHEL !) et qu’ils voulaient des précisions pour le chercher plus efficacement.

    Mais oui, mais c'est justement cet appel comme vous dites qui pose problème, puisque paraît-il les policiers savent où se trouve le couteau, il suffit de transmettre les indications de Ranucci. Or, malgré cela, il faut deux heures pour le retrouver. Ils ont une poele à frire, donc il suffisait de la pointer sur le tas de tourbe pour retrouver le couteau, quelques ferrailles déterrées, le couteau se serait aisément détecté.

    L'idée, c'est que l'on puisse constater le 6 la même chose que ce que l'on a constaté le 5. Donc s'il était enfoncé à vingt centimètres, on le réenfonce à 20 cm. Ce n'est pas sorcier.

    Perrault n'a jamais évoqué entre nous soit dit l'hypothèse que l'on aurait replacé le couteau à l'endroit où on l'a trouvé la veille. Je revendique cette idée monstrueuse. Perrault s'est contenté de s'étonner, mais l'avocat de Ranucci l'avait fait avant aussi que le PV récapitulatif porte une date et une heure curieuse.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 21:53 
    Citation :
    Citation :
    Quant à la petite erreur que fait l’inspecteur divisionnaire PORTE, lorsqu’il remet son procès-verbal de recolement de scellés, sur la machine à écrire au lieu de faire une nouvelle mention, GIHEL n’admettra jamais qu’il s’agit d’une petite erreur puisque cette petite erreur lui sert à démontrer que le meurtrier de MD est innocent.
    J'ai regardé attentivement le fac-similé de ce PV. Pour écrire la seconde liste, l'inspecteur n'a pas pu retirer les feuillets de la machine à écrire car les deux parties sont dans un alignement et une distance exacte qui correspond au crantage de la machine (y compris la légère inclination), horizontal et vertical.

    Donc la seule solution, c'est que le PV soit resté coincé dans la machine. Mais dire que l'inspecteur Porte aurait remis la feuille dans la machine une demi-journée ou une journée plus tard ne résiste pas à l'examen attentif des caractères tels qu'ils sont placés. Les deux listes ont été écrites dans la foulée sans que la feuille n'ait été retirée, sinon on constaterait un léger décalage, ce que corrobore la mention : "de même suite" qui signifie apparemment "au même moment".

    En revanche la mention : "l'inspecteur divisionnaire" a été rajoutée après que les feuillets aient été retirés, puis remis dans la machine, cette fois, ils ne sont pas dans le bon alignement, ni horizontal, ni vertical.

    Comme si l'on avait voulu séparer artificiellement les deux listes par ladite mention et la signature.
    de toute facon une chose est sur cette affaire a ete magouille depuis le debut il fallait un coupable et ils on trouve Ranucci


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 22:21 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    On sait bien sûr, depuis que CR l’a avoué que le couteau est enfoncé et qu’on va avoir du mal à le trouver. Il y’a dans un interrogatoire (certains prétendent qu’il a été entendu 19 heures, ce qui est aberrant et je peux vous expliquer, preuves à l’appui dans cette affaire pourquoi) ce qui est écrit et ce qui est dit. Et comme on ne peut pas marquer dans un procès-verbal tout ce qui se dit, sinon cela serait interminable à lire, il y’a des précisions ipportantes dans ce qui est dit.
    Le seul fait de dire, » j’ai jeté le couteau à terre et je lui ai donné un coup de pied dedans » montre que le seul fait d’avoir donné un coup de pied dedans l’avait rendu invisible, sinon, CR aurait fait autre chose pour le cacher.
    Dans son audition du 6 mlle DI MARINO il déclare : « j’ai donné un coup de pied au couteau, ce qui a eu pour effet d’enfouir le dit couteau dans la tourve qui se trouvait à cet endroit. »
    Il n’y aucun mystère dans tout cela.
    Gilles Perrault a consruit sa thèse autour de ses convictions, ce qui lui a enlevé toute capacité de jugement objectif (ajouté à sa méconnaissance de la procédure et du dossier) . GIHEL fait pareil mais en pire.
    Je vous remercie de ce que je considère comme un très grand compliment.

    L'audition par Mme Di Marino contient un détail qui révèle la supercherie.

    Au début de l'audition, elle pense que le fameux couteau est l'opinel. Elle ne doit pas être au courant de cette histoire de couteau caché qu'on est parti retrouver, pourquoi ne vient-elle pas avec Ranucci, cela reste un mystère ? Pourtant, elle a lu les PV de la garde-à-vue puisqu'elle en fait la paraphrase.
    Il faut dire que les enquêteurs ne sont vraiment pas curieux à ce sujet. Il sort un couteau automatique de sa poche, cela n'étonne personne.

    Bon, passons.

    Et puis, au cours de l'audition, on doit venir l'informer qu'on est en train de rechercher le couteau, qu'on l'a trouvé peut-être. Et là, on s'est mis d'accord, les gendarmes rappelant qu'il est enfoui. A ce moment là, ils font semblant de chercher sur le chemin, en attendant qu'on ait remis le couteau à sa place.

    Donc on modifie effectivement les déclarations de la garde-à-vue, cette fois, on lui fait dire que le fait de donner un coup de pied enfonce le couteau, mais c'est un peu tard, hélas.

    En plus, le problème, c'est qu'elle confond : elle se dit, c'est l'opinel et là, on a dû lui dire : mais non ce n'est pas l'opinel, regardez, il fait partie de l'autre saisie, celle de la voiture, non là c'est un poignard à double lame, un couteau automatique.

    Et donc, elle corrige, elle raie le mot "opinel" pour mettre "automatique".

    Tout cela fait un peu désordre.


    Et vous dites, ah oui, mais ce n'est pas écrit ! C'est bien ce qu'on reproche. Ce n'est pas écrit. On ne sait pas ce qui s'est dit, on n'y était pas et il n'y avait pas d'avocat. Quand il y aura des avocats à tous les stades de la garde-à-vue, on ne dira plus rien. Là excusez-moi. On n'en est pas là.

    Ce n'est pas écrit, alors qu'il s'agit de la pièce fondamentale de l'accusation, excusez-moi, cela fait un peu désordre.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :05 févr. 2005, 22:25 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :09 janv. 2004, 20:17
    Messages :5301
    Citation :
    GIHEL, inutile de me répondre, je n’ai plus de temps à perdre. J’ai reposté parce que je suis passionné par l’affaire et que j’ai eu un peu de temps ;
    Mais tant que vous ne comprendrez pas ce qu’est une fiche de scellé malgré toutes les explications qu’on vous donnne, cessez d’écrire toutes les bétises que vous écrivez à part si vous voulez nous amuser. (et bien que cette affaire ne soit pas du tout amusante)
    Vous ne vous rendez pas compte que vous défendez un meurtrier.

    J'ai quand même répondu, je suis désolé de vous faire perdre du temps.

    Ranucci ne peut plus se défendre lui-même, et pour cause.

    Alors il en fallait bien un, ce sera moi, en toute petite partie.

    Il a un visage d'ange votre prétendu meurtrier.


    Haut
       
     Sujet du message : Re: LE COUTEAU
    Message non luPosté :06 févr. 2005, 20:47 
    Hors ligne
    autres

    Enregistré le :05 juil. 2004, 04:29
    Messages :206
    Citation :

    J'ai regardé attentivement le fac-similé de ce PV. Pour écrire la seconde liste, l'inspecteur n'a pas pu retirer les feuillets de la machine à écrire car les deux parties sont dans un alignement et une distance exacte qui correspond au crantage de la machine (y compris la légère inclination), horizontal et vertical.

    Donc la seule solution, c'est que le PV soit resté coincé dans la machine. Mais dire que l'inspecteur Porte aurait remis la feuille dans la machine une demi-journée ou une journée plus tard ne résiste pas à l'examen attentif des caractères tels qu'ils sont placés. Les deux listes ont été écrites dans la foulée sans que la feuille n'ait été retirée, sinon on constaterait un léger décalage, ce que corrobore la mention : "de même suite" qui signifie apparemment "au même moment".

    En revanche la mention : "l'inspecteur divisionnaire" a été rajoutée après que les feuillets aient été retirés, puis remis dans la machine, cette fois, ils ne sont pas dans le bon alignement, ni horizontal, ni vertical.

    Comme si l'on avait voulu séparer artificiellement les deux listes par ladite mention et la signature.
    Ben, voyons, on invente des analyses typographiques maintenant...
    C'est pitoyable.


    Haut
       
    Afficher les messages postés depuis : Trier par 
    Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [360 messages ]  Aller à la pagePrécédente1111213141524Suivante

    Heures au format UTC+02:00


    Qui est en ligne

    Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 4 invités


    Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
    Vous ne pouvez pas modifier vos messages
    Vous ne pouvez pas supprimer vos messages
    Vous ne pouvez pas joindre des fichiers

    Aller à :  
    Développé par phpBB® Forum Software © phpBB Limited
    Traduit par phpBB-fr.com