Citation :
Et oui DALAKHANI je l'ai fait en téléphonant au gendarme qui a pris la plainte de M. MARTINEZ. Et vous croyez quoi, qu'il allait me dire qu'il avait menti ? Il a été très gêné. Tout d'abord il m'a dit que MARTINEZ ne lui avait pas parlé d'un enfant. Ensuite il m'a dit un peu plus loin dans la conversation que MARTINEZ lui avait parlé de quelquechose que RANUCCI avait sous le bras(tient ! il ne l'a pas mis dans la plainte) . Et ensuite, il m'a dit texto : "Je reconnais qu'il y'a eu un imbroglio au début de l'affaire." Je le sentais très gêné avec cette affaire de paquet.
Parce que même aujourd'hui, s'il reconnait qu'il a menti, c'est la honte si cela parait dans la presse. La honte vis à vis de sa famille, de ses amis, des commerçants chez qui il se rend.
Alors je ne crois pas qu'il le dise un jour.
Bonjour Gérard,
Je pense malgré tout que ce qui précéde aurait pu apparaître dans le livre ...
Je pense aussi que "un homme s'éloignant de la voiture en traînant un paquet assez volumineux" ("quelque chose que CR avait sous le bras" : son sac Adidas), pouvait suffire à déclencher les recherches compte tenu de l'heure, de la situation, de la voiture grise, des appels Aubert, Martinez, Guazzone.
Pourquoi ne parlez vous pas des recherches le 4 et avez vous aussi rencontré le gendarme ayant reçu les 2 premiers appels de Alain Aubert (appels dont il ne se souvient plus aujourd'hui) ? Je suis prêt à vous croire même si l'entretien ne peut être rendu public. En essayant de me mettre à leur place, 30 ans après, et vu l'importance de la chose, je pense que je serais prêt à m'expliquer et à tout le moins laisser un message posthume ...
J-J