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Sinon, pourquoi passer la barrière alors qu'il a la place pour changer sa roue ?
Pourquoi s'engager si loin s'il a été interpellé et n'a donc plus rien à craindre ?
Parce que justement, il a vu cette voiture s’arrêter deux fois, peut être même qu’il l’a vu faire le demi tour. Qu’à partir de là, il est envisageable que cette voiture, qu’il a vu repartir vers le croisement, va revenir ?
D'où sors-tu ces "informations" ?
Il aurait vu cette voiture s'arrêter deux fois et peut-être même faire demi-tour ?
Très surprenant pour quelqu'un qui s'enfuit, se cache et qui, selon les termes du "poursuivant" lui-même, n'était pas visible de celui-ci.
Tout simplement des dépositions faites par les Aubert, à partir du 6 juin.
Que le « poursuivant » ne voit pas l’individu caché dans les fourrés et une chose. Que celui-ci, d’où il est, voit le poursuivant en est une autre. les deux sont possibles au même moment.
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Poursuivant dont tu as par ailleurs dit qu'il pouvait être resté en retrait de la ... 30204
Pas clair tout ça.
Oui, j’ai dit que les Aubert ont pu rester en retrait, parce que
TU « martèles » sans arrêt cette hypothèse et que je ne vois rien qui permette de la rendre impossible. Je ne vois rien qui rende impossible aussi, la version donnée par les Aubert (sur ce point bien précis seulement).
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Tu donnes deux raisons (2 causes), le pneu crevé et le pneu qui risque d’éclater.
Ces deux causes produisent un seul et même effet : l’arrêt de Ranucci
Ce qui peut se lire autrement :
Ranucci s’arrête parce que le pneu est crevé
et
Ranucci s’arrête parce que le pneu n’est pas crevé (il risque d’éclater).
La deuxième raison n'est pas "le pneu qui risque d’éclater", mais "le fait de voir la barrière de la deuxième entrée à un moment où Ranucci commence à se dire qu'il faudrait bien quitter la nationale parce que le pneu risque d'éclater"
Ce qui est très différent.
D'abord parce que l'élément principal est le fait de voir un chemin pour s'échapper.
Indépendament de l'élément que tu juges principal, dans les deux raisons d’arrêt que tu donnes, il y a une contrainte technique. Si dans la deuxième raison, tu ne gardes que « l’élément principal » et que tu supprimes la contrainte technique, il n’y a plus de raison évidente de s’arrêter.