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'Monsieur Aubert ayant eu connaissance ce jour du rapt d'enfant à Marseille, pensait que les faits dont il avait été témoin, pouvaient avoir un rapport avec l'enlèvement. La brigade de Roquevaire répercutait ces faits à celle de Gréasque territorialement compétente, déjà en possession de la plainte pour délit de fuite consécutif à l'accident.'
Ca c'est Gras qui l'écrit et c'est grotesque; si le témoin dit faire le rapprochement avec l'affaire qui occupe tous les services de gendarmerie de la région il est bien évident que la compétence territoriale est secondaire, la brigade de Roquevaire doit évidement répercuter cette information à la hiérarchie. Ainsi à le lire ce n'est pas une de ses brigades qui aurait eu une défaillance mais bien deux: Gréasque et Rocquevaire
Je vois aussi quelque chose de grotesque, mais ce n'est pas ce qu'écrit le Capitaine Gras.
Le 4 juin, vers 13h, Guazzone appelle les gendarmes de Greasque. Ils ont des informations sur l'enlèvement de Marseille et ce que leur raconte Guazzone ne colle pas. Ils ne vont rien faire. Une paire d'heures après, c'est Aubert qui appelle la gendarmerie de Roquevaire. Ces gendarmes là, par rapport à l'enlèvement, sont sensés avoir les mêmes informations que ceux de Greasque et ce que leur raconte Aubert, ne colle pas plus que les propos de Guazzone. Aubert leur parle d'une scène qui lui a paru suspecte, d'un homme qui suite à un accident s'est enfui dans la colline avec un "paquet assez volumineux". Donc, peut importe l'accident, c'est cette scène là qui est essentielle et surtout l'endroit où elle s'est passée. La moindre des choses, ce serait d'aller faire un tour dans le secteur. La compétence des gendarmeries est déterminée par rapport à l'endroit où se passe un fait. Donc Roquevaire appelle Greasque. Ce n'est pas le Capitaine Gras qui l'a décidé, c'est la règle.
Ce qu'écrit le Capitaine Gras est tout à fait juste.
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C'est une plaisanterie........... Martinez raconte qu'alors qu'il était à la gendarmerie de Brignoles, il a été mis en communication avec Alexandra.
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Nous savons que c'est faux..., donc cela s'est passé différemment.
Comment pouvez-vous écrire:
"
Je crois assez au récit de Martinez (pour moi un honnête homme) à Bouladou; son histoire du commandant de Brignoles;"
alors que vous savez que des choses sont fausses.
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Les témoins se sont retrouvés au cœur de cet imbroglio entre gendarmes et policiers ce qui explique leurs déclarations 'hésitantes' à ce moment et encore plus tard.
Imbroglio qui ne sort que de votre imagination. Les témoins ne peuvent pas s'être trouver au cœur de quelque chose qui n'a jamais existé.
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Un honnête homme qui a fait un faux témoignage........... La seule chose crédible, c'est que ce sont les gendarmes de Brignoles qui l'ont emmené à Marseille. Et cela se passe le 6, pas le 5.
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Martinez ne fait pas de faux témoignage. Lui ne sait pas grand chose.
Devant la Justice, sous serment, lorsqu'on ne dit pas la vérité, cela s'appelle un faux témoignage. Dans ses dépositions, Martinez fait état de chose qu'il n'a pas vu ou pas entendu. On est bien dans le faux témoignage.
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Qu'a t-il dit au commandant de Brignoles ? : en gros ce qu'il a déjà déclaré le 3 à Gréasque, sauf qu'à la réflexion, peut-être que.......
Vous savez vous, qu'elle a été la teneur de la conversation entre Martinez et le Commandant de Brignoles ? Moi, pas. Nous savons que dans le récit que fait Martinez à Bouladou, de nombreuses choses sont fausses. D'ailleurs entre les deux livres de Bouladou, le récit n'est pas le même.
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C'est une plaisanterie........... Martinez raconte qu'alors qu'il était à la gendarmerie de Brignoles, il a été mis en communication avec Alexandra.
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Une bonne fois pour toutes, pouvons-nous admettre qu' Alessandra Di Marino et le Procureur étaient hors-jeu jusqu'à la découverte du corps.
Vous savez bien que je suis d'accord avec cela et pas seulement parce que vous le dites.
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C'est vrai il ment à Bouladou mais il n'est pas sous serment.
C'est bien ce que je dis. Nous ne pouvons pas tenir compte de ce qu'il raconte à Bouladou. Nous avons même deux raisons de ne pas le croire.
Mais il semble avoir des facilités pour ne pas dire la vérité, y compris au Tribunal, alors qu'il était sous serment.