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Comme je l'ai dit plus haut, c'est à vous d'introduire le doute pas à moi de prouver ce qui l'a déjà été depuis 30 ans.
L'heure de la mort de l'enfant et la non possession de l'arme du crime ne vous font pas douter.
Le couteau, et par rapport à l'interprétation qui en est faite pose plusieurs problèmes:
1. jusqu'au récapitulatif, c'est à dire dans le couloir de la mort, le couteau appartient à Ranucci.
Ses avocats ne le contrôlaient plus, c'est eux qui le disent.
Ranucci a donc parlé de sa propriété du couteau en toute bonne foi, il n'a pas menti pour leur faire plaisir.
2.La découverte du couteau par les gendarmes puis réenterré pour être déterré à nouveau lors de la liaison gendarmes/policiers implique: manigance gendarmes/policiers, ce qui est quasiment invraisemblable (il faut être civil pour dire ce genre d'allégations), mais celà implique également que les gendarmes aient agi soit avec l'accord ou derrière le dos de leur supérieur, ce qui me paraît également invraisemblable.
3.Nous avons un couteau (objet piquant et tranchant), c'est l'Opinel.
Ranucci aurait très bien pu tuer avec cette arme.
Les policiers auraient pu dire que c'était l'arme du crime.
Et bien, ce n'est pas cette arme, c'est "celle ou on appuie sur le bouton...."