Citation :
Je vois que les bêtises continuent sur la découverte du couteau.
La théorie selon laquelle le couteau a été découvert le cinq est débile et basée sur aucun élément.
Elle est basée sur le fait qu'on n'emmène pas Ranucci sur les lieux. Elle est basée sur un PV de recollement de scellés qui fait mention du couteau alors que les recherches débutent et qu'on est censé ne pas savoir où il se trouve. Lorsque l'on analyse ce PV, on s'aperçoit que les deux listes qui y figurent sont écrites au même moment, y compris le couteau. Elle est basée sur le fait que l'emplacement du couteau ne correspond nullement aux aveux. Elle est basée sur le fait que l'on ne cherche jamais à savoir la provenance de ce couteau et qu'on se garde de poser des questions sur cette provenance à Ranucci, comme s'il était naturel de se promener avec une telle arme dans sa poche. Cela fait beaucoup.
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J’espère que GIHEL, qui continue à véhiculer cette ineptie, a compris que la date en haut de la fiche de scellé était celle du début de l’affaire, qu’il a posé la question à un ou plusieurs gendarmes et consulté un manuel de police ou de gendarmerie qui explique le modus opérandi. S’il n’a pas fait ces démarches, c’est qu’il préfère raconter n’importe quoi pour continuer à croire que CR est innocent au lieu de chercher la vérité.
La vérité de M. Alessandra et celle des enquêteurs de ce dossier laisse planer malheureusement beaucoup d'incertitudes et d'incohérence, dont on comprendra que je peux pas la partager sans l'analyser soigneusement.
S'il n'y avait que la date en haut de la fiche, je ne dirais rien, l'élément est faible c'est vrai, mais le problème c'est que cela s'accumule avec le reste.
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Je ne reviendrai plus sur cette date sur la fiche de scellé car tout le monde peut vérifier auprès des personnes compétentes qu’elle correspond à la date du début de l’affaire et non pas à la date de découverte du couteau. Tous ceux qui continuent à affirmer le contraire sans effectuer la moindre vérification sont des imbéciles, je suis au regret de l’écrire même si certains me trouvent arrogant. La bêtise a toutefois des limites et ceux qui se complaisent dedans ne méritent aucune considération.
C'est la différence entre vous et moi, vous faites le coup du mépris, moi je n'ai jamais traité la partie en face d'imbécile. Les arguments que je porte me suffisent, contrairement à vous qui avez besoin de marteler à tout bout de champ qu'on ne doit pas critiquer la police de ce pays. Dans le cas qui nous occupe malheureusement, le sport est facile.
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Il faut savoir ce que vous voulez : ou bien effectuer une enquête objective afin de comprendre si CR était coupable ou innocent ou bien vous accrocher comme des arapèdes à l’innocence en refusant d’effectuer la moindre recherche, de peur de découvrir la vérité et la culpabilité. Dans ce cas il y’a malhonnêteté intellectuelle. C’est pour cela que j’emploie les termes de révisionnistes ou négationnistes. C’est la même démarche intellectuelle que celle de ceux qui nient l’existence des chambres à gaz.
Il y a tout de même une différence entre nier l'existence de la destruction industrielle de plus de 5 millions de personnes par les gaz et autre pour un simple fait d'appartenance religieuse et critiquer une enquête qui a conduit à la mort d'un jeune homme dont on peut, malgré ce que vous nous dites, douter de la culpabilité. Comme dirait Pascal, tout ce qui est exagéré est insignifiant.
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Dans la théorie de la découverte du couteau le 5, je relève de nombreuses inepties.
1) Les gendarmes n’avaient pas à rechercher une arme le 5. On n’a pas su au début avec quoi MD avait été tuée. C’est surtout les blessures importantes à la tête qui ont fait penser qu’elle était morte, la tête écrasée avec des pierres. Confer presse du 6 juin et cela m’est confirmé par le docteur VUILLET.
Dire que les gendarmes ont commencé à chercher le 5 est une ineptie contredite par les faits et les procès-verbaux des gendarmes.
Je n'ai pas dit qu'il l'avait cherché, j'ai dit qu'ils l'avaient trouvé, c'est tout à fait différent. Ils trouvent un couteau, qui plus est taché de sang peut-être, raison évidente de le garder précieusement, même si l'on doute de ce quoi est morte l'enfant.
Par ailleurs, le docteur Vuillet était sur place et en nettoyant le corps, on a dû voir très vite les 15 entailles caractéristiques des blessures à l'arme blanche.